Saisie de plus de 4 quintaux de drogue

Tlemcen

L’exploitation d’informations concernant une affaire de drogue a permis de mettre les mains sur une quantité importante, soit 4,5 quintaux. L’opération en question inscrite dans le cadre de la lutte contre la criminalité sous diverses formes a été à l’actif des éléments de la brigade mobile de la police judiciaire de la daïra frontalière de Beni Boussaid, dans la wilaya de Tlemen, en collaboration avec les éléments de l’A.N.P. Quant à la découverte, elle a été opérée au niveau de djebel Ousfour, indique un communiqué parvenu de la cellule de communication de la Sûreté de la wilaya.

Un Ramadhan, entre hier et aujourd’hui
Alors qu’on s’attendait à de nouvelles mesures annonçant la suppression du confinement, revoilà son prolongement jus qu’au 30 du mois courant, signe de rester chez soi, privant les Algériens d’organiser la prière de l’Aïd el Fitr qui se déroulait autrefois dans la convivialité, à commencer par les retrouvailles suivie des embrassades dès la sortie des mosquées.Malheureusement, ce ne sera le cas cette fois-ci tout ce cela, nous amène à nous remémorer ses paisibles moments d’antan vécus par le passé bien avant l’entame de ce mois sacré où des préparatifs tous azimuts étaient à l’actif des familles tlemceniennes afin de l’accueillir dans la joie, contrairement à celui de l’année courante qui se déroulé dans la morosité, le dégout, où l’activité a cédé la place à l’oisiveté, et d’ailleurs, une virée en ville effectuée, jeudi dernier, nous a offert l’image d’une ville plongée dans la monotonie caractérisée par une activité commerciale presque totalement absente en dépit des dernières décisions de fermeture de certains magasins en application des mesures de confinement dans la perspective d’éviter la propagation du coronavirus. C’est en somme, des séquelles qui ne pourront à jamais être mises aux oubliettes, surtout que les Algériens ont été de tout temps fidèles à leurs coutumes et traditions ancestrales, particulièrement en période nocturne où des imams fusaient de partout, alors qu’après la prière des Tarawihs, les cafés, magasins, palais de la culture s’animaient. Ainsi, Ramadhan tire à sa fin, laissant une ambiance familiale, certes, au tour d’une table mais dans des conditions un peu particulières, contrairement aux années précédentes.
S.T.Smain