Un hôpital de grande envergure

Boumerdès

On se demande et on se pose la question suivante : pourquoi l’hôpital de Bordj Ménaïel n’est pas un CHU et dire qu’il est le plus important établissement hospitalier de la wilaya de Boumerdès, il est quasiment sollicité par toute la population de la région et même des régions avoisinantes malgré l’existence d’autres établissements à Thenia, Dellys, Boumerdès. L’Hopital civil de Bordj-Menaiel est un important pole de santé et qui porte le nom d’un grand révolutionnaire Algérien en l’occurrence Ouamrane, un Moudjahid qui a damé le pion aux sanguinaires soldats français et dont l’histoire s’en souviendra, un homme très brave qui a su mobilisé des jeunes issus de la région de Bordj-Ménaiel à l’image des Mokhfi Mahfoud, Talamali, Bengriche plus connu par Bourebbou, des personnages nationalistes qui ont combattus les colonisateurs bien avant le déclenchement de la révolution : ils étaient considérés comme des bandits d’honneur pour le peuple Algérien, ils ne font plus partie de ce monde certes mais ils demeurent vivants dans les esprits des Algériens au meme titre que le grand Krim Belkacem, le négociateur des accords d’Evian.

Mis à part l’EPH de Thénia qui lui était un CHU depuis de nombreuses années et qui dépendait de la wilaya d’Alger , toujours est-il que quand vous discutez avec les médecins, les infirmiers, les aides-soignants, les chirurgiens, beaucoup disent qu’ils mettent leur espoir dans la réalisation de ce rêve CHU promis depuis des lustres. L’hôpital de Bordj Ménaïel est un secteur public de santé d’une grande importance qui renferme en son sein les meilleurs chirurgiens et chirurgiennes qui malgré leurs bonnes volontés travaillent dans des conditions très difficiles où il existe un manque en blocs opératoires étant donné que celui existant est saturé, sollicité par differents services en même temps. Il faut alors patienter parfois plusieurs jours pour pouvoir subir son opération, rencherit-on. La construction d’un nouveau bloc opératoire est plus que primordial, ils insistent sur «l’urgence de sa réalisation, pour être opérationnel dans les meilleurs délais car ils ont espoir que leurs conditions de travail et par conséquent la qualité de la prise en charge des patients vont s’améliorer alors». Mais en attendant ce nouveau bloc opératoire reste un rêve que les chirurgiens et chirurgiennes dans son ensemble caressent avec beaucoup d’espoir.
Le besoin est sanitaire et salutaire ! Le métier de chirurgien était la propriété du sexe masculin, aujourd’hui il est pratiqué honorablement par des femmes très compétentes et humaines, disposées, donc mieux équipées pour assurer un savoir-faire au personnel médical, ou par exemple, plusieurs médecins de rang très élevé exerçant leurs métiers convenablement malgré les conditions de travail très difficiles, le personnel continue, vaille que vaille à faire face aux besoins des patients, pour assurer les meilleures prestations médicales possibles. Cependant, une chose est sûre, il existe à l’hôpital de Bordj Ménaïel des aides soignants, des infirmiers (ères) très qualifiés à l’image de Kourougli Toufik, Hocine et autres qui assurent un soutien aux médecins, c’est exactement ce que les patients recherchent une fois dans l’enceinte du secteur sanitaire, un bon accueil, de la gentillesse, des gens qui sont toujours disponibles même en dehors de l’hôpital à venir en aide aux malades. De toute les maniéres, à l’EPH de Bordj-Menaiel on a réalisé un bloc opératoire specialement conçu pour l’orthopédie, un hopital de pédiatrie dans un hopital, un service d’hémodialyse. Cependant il est à noter que les blouses blanches ont vu leurs cotes montés depuis la pandémie du Coronavirus.
On se demande et on se pose la question suivante : pourquoi l’hôpital de Bordj Ménaïel n’est pas un CHU et dire qu’il est le plus important établissement hospitalier de la wilaya de Boumerdès, il est quasiment sollicité par toute la population de la région et même des régions avoisinantes malgré l’existence d’autres établissements à Thenia, Dellys, Boumerdès. Mis à part l’EPH de Thénia qui lui était un CHU depuis de nombreuses années, toujours est-il que quand vous discutez avec les médecins, les infirmiers, les aides-soignants, les chirurgiens, beaucoup disent qu’ils mettent leur espoir dans la réalisation de ce rêve CHU promis depuis des lustres. L’hôpital de Bordj Ménaïel est un secteur public de santé d’une grande importance qui renferme en son sein les meilleurs chirurgiens et chirurgiennes qui malgré leurs bonnes volontés travaillent dans des conditions très difficiles où il existe un manque en blocs opératoires étant donné que celui existant est saturé, sollicité par differents services en même temps. Il faut alors patienter parfois plusieurs jours pour pouvoir subir son opération, rencherit-on.Quand un hopital marche bien c’est qu’il est bien géré par la direction Administrative, un personnel et une directrice qui donne les moyens necessaires pour son secteur.
Il y’a toujours un manque mais il faut savoir s’améliorer car la prise en charge des malades n’est pas une chose facile, c’est une affaire de tous. La construction d’un nouveau bloc opératoire est plus que primordial, ils insistent sur «l’urgence de sa réalisation, pour être opérationnel dans les meilleurs délais car ils ont espoir que leurs conditions de travail et par conséquent la qualité de la prise en charge des patients vont s’améliorer alors». Mais en attendant ce nouveau bloc opératoire reste un rêve que les chirurgiens et chirurgiennes dans son ensemble caressent avec beaucoup d’espoir. Le besoin est sanitaire et salutaire ! Le métier de chirurgien était la propriété du sexe masculin, aujourd’hui il est pratiqué honorablement par des femmes très compétentes et humaines, disposées, donc mieux équipées pour assurer un savoir-faire au personnel médical, ou par exemple, plusieurs médecins de rang très élevé exerçant leurs métiers convenablement malgré les conditions de travail très difficiles, le personnel continue, vaille que vaille à faire face aux besoins des patients, pour assurer les meilleures prestations médicales possibles.
Cependant, une chose est sûre, il existe à l’hôpital de Bordj Ménaïel des aides soignants, des infirmiers (ères) très qualifiés à l’image de Kourougli Toufik, Hocine et autres qui assurent un soutien aux médecins, aussi il y a lieu de noter qu’ils sont toujours disponibles même en dehors de l’hôpital à venir en aide aux malades .Mais le seul handicap est le manque de radiologie, de Scanner, d’IRM, actuellement le scanner est utilisé pour les patients atteints du coronavirus, le jour ou les malades auront la possibilité d’avoir accès au scanner, ce jour là nous pourrons dire que le secteur sanitaire est en bonne santé. Cependant, nous ne cesserons jamais de dire que pour la période du coronavirus, l’hopital Amar Ouamrane de Bordj-Menaïel a été très sollicité et les hommes en blouses ainsi que les femmes ont été des héros et l’histoire s’en souviendra.
Kouider Djouab