Lancement d’un dispositif opérationnel

Soutien à l’entrepreunariat des jeunes et des femmes

Dans un pays qui ne se plie pas aux difficultés quotidiennes qui forment de sérieux obstacles à son émergence, l’Algérie ne fléchit pas. Elle répond, argument à l’appui, à ses détracteurs qui tentent de pousser sa jeunesse vers les chemins du désespoir dont celui de la harga. Cette démarche des ennemis de l’Algérie n’a pas marché et ça ne marchera pas avec une jeunesse dont la persistance à croire en une Algérie Nouvelle est constante. Elle le fait dans un monde, en pleines mutations.

Là où les jeunes et les femmes sont les premières victimes du chômage, de la précarité et de l’immigration clandestine. Ce faisant, le Chef de l’Etat a fait montre d’une réelle volonté politique pour concevoir et mettre en œuvre une institution comme l’Agence Nationale de Soutien à l’Emploi des Jeunes. Cela doit être interprété comme étant le lancement d’un dispositif opérationnel de soutien à l’entrepreunariat des femmes et des jeunes. C’est aussi un pari victorieux sur le chômage et la conviction de l’investissement dans l’avenir et la jeunesse. Ce pourquoi, il est impératif de penser à l’organisation de rencontres encadrées par de riches échanges avec au bout des approches de bilans exhaustifs pour corriger d’éventuels imperfection et s’assurer des contours d’une autre année pleine d’espoirs. Dans la même dynamique, des projets de jeunes seront à l’honneur. Ils sont destinés aux deux sexes de différents âges adultes et activités âges à l’instar de milliers d’autres dont les projets ont déjà été financés ces dernières années. L’action de l’Ansej témoigne ainsi du souci d’équité territoriale avec un impact sur plusieurs, régions, wilayas, communes. Une démarche que le président de la République a retenue pour saluer cette belle chaîne de l’entrepreunariat dans le milieu de la jeunesse qu’il s’agit de consolider dans le temps.
Le parcours n’est point aisé, mais l’engagement et l’envie de réussir permettront de faire émerger une masse critique de chefs d’entreprises qui seront les futurs champions d’un pays émergent comme l’Algérie. Ce qui certainement a motivé le Chef de l’Etat de mettre l’Ansej officiellement sous tutelle du ministre délégué auprès du Premier ministre chargé de la micro-entreprise, en vertu d’un décret exécutif publié au dernier journal officiel n° 41. Daté du 20 juillet 2020, le décret a conféré au ministre délégué auprès du Premier ministre chargé de la micro-entreprise, le pouvoir de tutelle sur l’Agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes. A travers ce nouveau texte, les dispositions du décret exécutif du 5 mai 2020 conférant au ministre de la micro-entreprise, des start-up et de l’économie de la connaissance, le pouvoir de tutelle sur l’agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes ont été abrogées. A noter que ce changement intervient après le remaniement ministériel du 23 juin dernier où il a été décidé de créer des postes des ministres délégués auprès du Premier ministre, dont un chargé de la micro-entreprises et un autre chargé de l’économie de la connaissance et des start-ups.
L’Ansej dépendait auparavant du ministère du Travail et de l’emploi. Mais, lors d’une réunion du Conseil des ministres, le président de la République Abdelmadjid Tebboune avait instruit le 9 mars dernier le Gouvernement à l’effet de rattacher l’agence au nouveau ministère des Micro-entreprises, des start-up et de l’économie du savoir. Ce qui a été matérialisé récemment ; Bien qu’encore sous le sceau de la confidentialité, des indiscrétions avancent l’élaboration de nombreux projets. Ils seront à l’honneur à l’instar de centaines d’autres dont les projets ont été déjà financés les précédentes années. L’action du président de la République témoigne ainsi du souci d’équité territoriale à impact égal entre les régions. C’est le lieu de saluer cette belle chaîne de l’entrepreunariat qu’il s’agit de consolider dans la durabilité. Le parcours n’est point aisé, mais l’engagement et l’envie de réussir permettront de faire émerger une masse critique de chefs d’entreprises.
Ils seront les futurs champions d’une Algérie à la mesure des attentes de notre jeunesse. «…L’Ansej est officiellement mise sous tutelle du ministre délégué auprès du Premier ministre chargé de la micro-entreprise, en vertu d’un décret exécutif publié au dernier Journal officiel n°41 daté du 20 juillet 2020. Il confère au ministre délégué auprès du Premier ministre chargé de la micro-entreprise, le pouvoir de tutelle sur l’agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes» indique-t-on du côté du Premier ministère. Il précise également qu’à travers ce nouveau texte, les dispositions du décret exécutif du 5 mai 2020 conférant au ministre de la micro-entreprise, des start-up et de l’économie de la connaissance, le pouvoir de tutelle sur l’agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes ont été abrogées. Il faut savoir que l’Ansej dépendait auparavant du ministère du Travail et de l’emploi. Mais, le président de la République Abdelmadjid Tebboune avait instruit le 9 mars dernier le Gouvernement, lors d’une réunion du Conseil des ministres, de rattacher l’agence au nouveau ministère des Micro-entreprises, des start-up et de l’économie du savoir.
A. Djabali