Un cadre de vie déplorable au «Village Douze»

Relizane

Le «Village Douze» mène un cadre de vie des plus pénibles depuis des années et malgré que la localité est recensée comme zone d’ombre, aucune oreille n’est à l’écoute.

En effet, les routes et les trottoirs sont devenus impraticables, l’inexistence de l’éclairage public s’ajoute au déversement des eaux usées qui s’échappent des canaux d’évacuation. Les habitants réclament l’aménagement d’espaces verts. Concernant les travaux de réalisation de la mosquée, ils sont à l’arrêt à cause du gel des activités de l’association religieuse. On signale qu’il ne reste plus grand chose pour que la mosquée soit livrée. La polyclinique nécessite un agrandissement et souffre du manque de matériel médical et de médicaments. Elle ne peut plus répondre à la demande d’une population qui a augmenté avec le temps. Les revendications concernent également la situation de très nombreux lycéens qui sont obligés d’effectuer de grandes distances pour pouvoir poursuivre leurs études. La réalisation d’une antenne administrative s’avère indispensable dans ce village. D’autre part, l’ensemble des habitants ont besoin de réfection d’étanchéité et de ravalement des façades. Les villageois aimeraient bien en invitant M. le wali à penser à inscrire au programme la réalisation d’un stade et d’un jardin public.
N. Malik