La formation des étudiants a contribué au développement de l’économie

Algérie-Zimbabwe

L’ambassadeur du Zimbabwe à Alger, Vusumuzi Ntonga a souligné que la formation des étudiants zimbabwéens dans les universités algériennes a contribué au développement de l’économie et à la prospérité de la société, appelant à leur permettre d’effectuer des stages pratiques et d’élargir la formation à d’autres spécialités, a indiqué lundi un communiqué du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.

Lors d’une audience accordée par le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Abdelbaki Benziane, l’ambassadeur zimbabwéen s’est félicité du niveau des relations de la coopération bilatérale, dans le cadre des bourses accordées par l’Algérie au Zimbabwe pour la formation des étudiants dans plusieurs domaines, à l’instar des sciences médicales, de la pharmacie, des diplômes d’ingéniorat toutes spécialités confondues outre les sciences commerciales, ce qui «a contribué positivement au développement de l’économie et à la prospérité de la société».
A cette occasion, l’ambassadeur a demandé d’augmenter le nombre des places pédagogiques accordées aux étudiants zimbabwéens pour la formation en sciences médicales et d’accorder aux étudiants «la chance d’effectuer des formations supplémentaires pour leur permettre une intégration professionnelle rapide et d’effectuer des stages pratiques, notamment dans les diplômes d’ingéniorat ainsi que les diplômes de commerce et de comptabilité». Il a plaidé, en outre, pour «l’accès des étudiants zimbabwéens à l’inscription en agronomie et l’aviation et à l’élargissement de la formation à même d’englober le commerce et le tourisme», sachant que ces étudiants bénéficient d’un prise en charge sanitaire à l’instar de autres étudiants algériens.
De son côté, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a appelé à l’élargissement de la coopération pour englober «les professeurs et les chercheurs algériens leur permettant une formation et un encadrement dans les universités du Zimbabwe dans les domaines des sciences et technologies et sociologie, et ce, compte tenu de leur grande expérience et leur implication dans la mise en place de programmes de recherche communs».
R. R.