Le commerce informel prolifère en ville

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Au niveau de plusieurs cités populaires, à savoir,  la cité Fortassa du chef-lieu de Relizane, où des dizaines de vendeurs informels squattent les espaces publics et les trottoirs.
Ces petits vendeurs sont versés dans le commerce des fruits, des légumes, de l’habillement, cosmétiques et accessoires de cuisine. On les remarque à chaque coin de rue, exposant leurs marchandises sur des étals de fortune et occupant des espaces publics. Des commerçants informels, installés sur la route destinée au trafic automobile bloquent avec leurs brouettes de fortune, le chemin aux piétons comme aux voitures. S’ajoute à cela, des tas de saletés et de détritus que génère cet immense marché informel. Au lieu d’aménager à ces commerçants un autre lieu pour exercer leur activité et d’éradiquer complètement ce marché illicite, les autorités concernées semblent ne pas  trop se faire de souci,  laissant la situation telle qu’elle est. Cette anarchie a engendré beaucoup de désagréments chez les commerçants légaux  et au sein de la population, vu les tonnes de déchets abandonnés par les vendeurs, une fois la journée achevée.
En dépit des requêtes adressées aux autorités locales et aux services de sécurité, les vendeurs illicites continuent de faire la pluie et le beau temps dans la ville.            
N. Malik