A l’attention de Monsieur le ministre de la Justice

Objet : Requête contre une erreur judiciaire

Monsieur le ministre, je suis un moudjahid qui a beaucoup donné à ce pays et je suis une personne handicapée, en criant à l’aide, j’espère que vous écouteriez mon cri et que vous me rendriez justice en me restituant mon droit volé par la force. Monsieur le ministre, un richard, malfrat, un colonel véreux en retraite, un notaire malhonnête et un magistrat aux compétences douteuses, ainsi qu’un comportement socioprofessionnel juridique qui en plus d’une moralité agressive se sont coalisés contre un honnête citoyen sans défense ni protection juridique. Tout ceci, pour cacher une affaire de blanchiment d’argent sale, cette affaire s’inscrit dans une opération de vente d’un lot de terrain dans l’indivision appartenant à de nombreux héritiers. La plupart de ces ayant droits décident de se faire représenter par M. Kechida Naguib, auprès de l’acquéreur à savoir M. Khedam Mohamed Ahmed, promoteur immobilier dont ci-joint l’acte de vente daté du 29 mars 2014, ainsi que l’acte des avances daté aussi du 6 mars 2014, établi par le notaire en l’occurrence M. Miloudi Samir.
Me concernant Amari Abdelmalek, j’ai signé un mandat à l’attention de M. Kechida Naguib du fait de mon invalidité pour me représenter en lieu et place de me ramener les chèques correspondant à mon dû sur ladite vente de ce terrain. Hélas, la malhonnêteté de ces trois individus est apparue au grand jour. M. Kechida se permet d’aller encaisser en mon lieu et place les chèques en prestation dont le montant réel ne m’a pas été communiqué par ce dernier qui m’oriente vers M. Khedam qui doit me remettre la partie restante ! Alors que je n’ai aucun rapport ni en relation morale et écrite avec ce bonhomme, il s’avère ainsi que j’ai été victime d’une escroquerie, de ce fait, devant cette situation, j’ai ainsi constitué un avocat pour faire valoir mes droits. L’affaire a commencé par le tribunal correctionnel de Chéraga pour parvenir jusqu’à la Cour suprême, laquelle après avoir étudié le cas a transmis de nouveau le dossier au tribunal de Chéraga pour une réexamination et de prendre les mesures nécessaires qui s’imposent. L’affaire citée en objet est donc de nouveau instruite par le juge de la 4e Chambre correctionnelle du tribunal de Chéraga en date du 14/6/2021 et faire l’auteur de la plainte, l’accusé, le notaire convoqué par le juge a vicieusement fait des déclarations contraires à ses propres écrits en contradiction avec sa fonction de personne assermentée, de plus et à mon étonnement. C’est le cautionnement manifeste des mensonges par le magistrat, curieusement, l’affaire a tourné et ce devant l’auditoire passant du bavardage aux contradictions, d’affaires de vente et d’achat d’appartements avec le principal témoin infiltré malicieusement et qui se retrouve comme étant un imposant interlocuteur. L’audience de la honte, l’interrogatoire scandaleux, inadapté et inapproprié, un témoignage imaginatif de mensonges, d’incohérence, de discordance et enfin de complaisance. Ce ramassis de témoins planifiés par l’intelligent colonel en retraite, Kechida Naguib. Ces témoins n’ont aucune légalité juridique d’être témoins dans cette affaire et de se présenter devant le juge en question sous peine d’être passibles des articles du code pénal allant du 232 à 236 du code pénal. M. Kheddam qui est lui-même témoin en question appuie son témoignage par un groupe de témoins véreux, et légalement on ne peut pas construire une vérité sur des bases mensongères.
Monsieur le Ministre, vu que je n’ai pas assisté à la dernière audience du mois de septembre 2021 à la Cour de Tipasa parce que je n’ai reçu aucune convocation alors que la partie adverse était présente et le juge a pris la décision en mon absence, Vu que le protocole socio-juridique n’ayant pas été respecté convenablement, Vu que je suis moudjahid et de sur quoi souffrant du poids de l’âge, Vu que je suis un mal-voyant chronique et dont la voix est inaudible, Vu que les débats durant l’audience était scandaleux complaisants et inutiles avec un questionnement généreux pour disculper coûte que coûte le coupable, Vu que mes droits les plus élémentaires n’ont pas été considérés qui consistent en la présence obligatoire de tierces personnes avec moi pour être auditionnées dans pareille situation. Et enfin, vu que  mes droits de moudjahid protégés par l’article 13 du droit constitutionnel. A cet effet, je vous demande la réouverture du dossier (AMARI Abdelmalek – KECHIDA Naguib) et son réexamination de nouveau. Dans l’attente d’une réponse dans un délai approprié, je vous prie de croire Monsieur le Ministre de la Justice, à mon assurance de mes sincères salutations.