Problème des dépotoirs sauvages

Tiaret

Les orientations de la haute instance n’ont pas encore trouvé le vrai chemin pour se débarrasser des ordures, et l’éradication des dépotoirs sauvages. Une capitale transformée en une vraie poubelle. Un montant colossal injecté pour l’achat des engins pour mener une bataille devant ce phénomène mais en vain. Il suffit que tous les Tiaretiens s’arrêtent de jeter des détritus par terre, au bout de 10 jours, un résultat serait visible, et que chaque jour, chaque habitant ramasse ou nettoie un seul déchet qui se trouverait sur son passage. Si nous voulons donc avoir une ville propre, nous savons ce qui nous reste à faire. La paix sociale nous conduit vers l’autre politique, sur les 1.600 associations, on compte 20.000 membres, aucun d’eux n’a réussi à lever le doigt et de passer à l’action de sensibilisation pour un environnement oxygéné ou de planter un arbre. Faut-il aussi signaler près de 5.000 émergeant au filet social et affectés aux rangs des associations sans rendement. Avec un parc roulant estimé à des dizaines de milliards et un bataillon d’agents, loin des regards, Tiaret réussira-t-elle à offrir son vrai visage d’antan aux visiteurs.
Hamzaoui Benchohra