La planète n’a pas besoin de guerres

Crise OTAN – Russie

Depuis quelques temps, les relations entre les Etats Unis, l’OTAN et la Russie se sont détériorées et s’aggravent de plus en plus, les choses vont jusqu’au risque de guerre, perspectives terribles.

Comment peut-on envisager une telle éventualité ?
Le monde civilisé est-il à ce point inconscient des conséquences ? Les affres des deux guerres mondiales, les guerres coloniales, aujourd’hui le terrorisme, le climat, Covid-19, auxquels des solutions sont à rechercher.
L’humanité a besoin de paix, de concorde, de coopération pour vivre en sécurité et dans le bien-être. Aux problèmes du monde, il y a des institutions comme le Conseil de sécurité de l’ONU, l’Assemblée générale habilités à résoudre entre autres les problèmes de sécurité ou à les prévenir, qu’ils fassent actions de leur prérogatives pour régler cette crise menaçante. Comme par ailleurs, régler le conflit israélo-palestinien sans oublier le Sahara occidental qui s’éternisent. Il est à rappeler qu’un problème similaire s’est posé en 1962 entre les USA et l’ex URSS au sujet des missiles à Cuba, cela a failli provoquer une guerre entre les deux grandes puissances, la sagesse ayant prévalu, le pire a été évité. Aujourd’hui, nous souhaitons et demandons que ce problème soit réglé pacifiquement. Le pacte de Varsovie a été dissout il y a longtemps, mais l’OTAN, son adversaire existe toujours. Il y a comme un déséquilibre, un dysfonctionnement. Le problème des alliances militaires, chose dépassée à notre sens, fin de la guerre froide oblige, devait faire place à la coopération, la solidarité pour le bien-être des peuples. Les dépenses militaires trop coûteuses sont à réduire pour être plus bénéfiques, à l’investissement productif.
Bref, comme modeste solution, nous proposons succinctement la réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU, le retrait des troupes des belligérants à leur emplacement d’origine, cessation de toute propagande à la «Josep Gobbels», ne pas chercher à patauger dans le secteur de l’autre, prise en charge de ce problème par l’ONU. Notre planète terre est si précieuse, il convient de la préserver jalousement, les efforts et la volonté de tous y sont nécessaires.
Hadj Ali Saïd et Oumoussa Lakhdar