12.000 jeunes bénéficieront de l’allocation chômage fin mars

Constantine

Plus de 12.000 personnes de la wilaya de Constantine bénéficieront «d’ici à fin mars 2022» de l’allocation chômage devant être versée après étude et validation, a révélé avant-hier le directeur de l’Agence de wilaya de l’emploi (AWEM), Lokmane Messaoudane. Sur environ 22.000 demandes déposées via la plateforme numérique «Minha», il a été procédé à la validation de 12.000 dossiers, a précisé le même responsable à l’APS, en marge de la troisième édition du Salon de l’emploi organisé à l’université Abdelhamid Mehri Constantine-2, affirmant que l’opération avance à un rythme accéléré pour achever l’étude de tous le dossiers et statuer sur l’éligibilité. Les bénéficiaires répondant aux conditions exigées ont été convoqués au siège de la direction pour leur remettre les attestations d’attribution de l’allocation devant être versée le 28 mars courant, a ajouté le même responsable faisant état de la conclusion d’une convention avec le secteur de la poste et des télécommunications pour faciliter les procédures relatives aux comptes postaux courant au profit de cette catégorie. Le même responsable a assisté également à la création d’une agence locale virtuelle de l’emploi à l’université Constantine 2 dans le cadre d’une convention conclue entre les deux parties en vue d’accompagner les étudiants et faciliter les procédures d’inscription sur cette plateforme numérique. Pour sa part, le vice-recteur de l’université Constantine 2 chargée des relations extérieures, de la coopération, de l’animation, de la communication et des manifestations scientifiques auprès de l’université Abdelhamid Mehri Constantine 2, Mme Ilhème Kitouni a considéré que ce Salon «constitue une opportunité pour orienter les étudiants diplômés vers le marché de l’emploi». L’organisation de ce genre de manifestation à l’université contribue de manière efficace à transmettre l’information juste s’agissant des méthodes pour bénéficier de l’emploi et de l’allocation chômage, a ajouté la même responsable, estimant que «l’université constitue un réservoir d’étudiants qui deviendront par la suite des demandeurs d’emploi».