Marine Le Pen se couvre de honte au sujet de Bourguiba et de l’interdiction du voile en Tunisie

France

Marine Le Pen se rêve un grand destin, aux plus hautes cimes d’une France qu’elle entend régenter d’une main de fer, en attisant le brasier incandescent de la haine anti-musulmans, mais à la veille de son face-à-face crucial avec Emmanuel Macron, patatras ! Son incompétence et ses grossières erreurs historiques en tout point désastreuses éclatent au grand jour, en lui éclatant en pleine face…
Anti-voile jusqu’à sombrer dans l’ubuesque, la figure de proue de l’extrême droite française, favorable à la kippa mais hostile au port de tous les voiles dans l’espace public, s’est vautrée mardi en beauté au micro de France Inter !
N’a-t-elle pas asséné deux énormités dans la même phrase, sans que le moindre doute ne l’effleure : « Bah, excusez-moi, mais Monsieur Bourguiba avait interdit le voile en Algérie »… De quoi laisser sans voix ! Sauf de l’autre côté de la Méditerranée, en Algérie et en Tunisie, où les railleries acerbes sont allées bon train dans la presse et sur les réseaux sociaux, fustigeant la confusion calamiteuse entre les deux pays, jugée « impardonnable », commise sans ciller par la candidate du Rassemblement national.