«L’Algérie a fait des pas importants en matière de protection et de promotion de l’enfance»

Meriem Chorfi

L’Algérie a fait depuis l’indépendance de grands pas et a réalisé d’importants acquis en matière de protection et de promotion de l’enfance, a affirmé vendredi dernier à Sétif la déléguée nationale à la protection de l’enfance, Meriem Chorfi.
Au deuxième jour de sa visite dans la wilaya de Sétif dans le cadre de la célébration de la journée nationale de l’enfance (15 juillet) sous le slogan «J’aime mon pays l’Algérie», Mme Chorfi a indiqué que «l’Algérie s’est attachée dès le recouvrement de sa souveraineté nationale à donner à l’enfant la place qui lui revient, à savoir l’école, en combattant l’illettrisme, le travail et autres pratiques dont était victime l’enfant».
Mme Chorfi a affirmé dans le même contexte : «Nous sommes fiers, 60 ans après l’indépendance, des acquis concrétisés par l’Algérie dans le domaine de la protection et de la promotion de l’enfance qui la placent au premier rang des pays protégeant et promouvant l’enfant».
Elle a rappelé, en ce sens, que «la Constitution algérienne englobe l’intégralité des droits de l’enfant et sa protection contre toutes les formes de criminalité et d’exploitation par le travail et lui a assuré le droit à une instruction gratuite et obligatoire».
Mme Chorfi a également ajouté que «la Constitution algérienne a consacré l’intérêt suprême de l’enfant», avant de souligner que «la loi relative à la protection de l’enfant du 15 juillet 2015 a pris en charge tous les aspects liés aux droits de l’enfant et a accordé un intérêt particulier à certaines catégories d’enfants».
«De grands efforts ont été déployés au cours des dernières années par l’ensemble des acteurs en vue de protéger et promouvoir l’enfant en Algérie en tant qu’acteur futur au sein des institutions, de la société civile et autres», a-t-elle assuré Elle a relevé, à ce propos, que «l’instance nationale de protection et de promotion de l’enfance, et au regard de l’étendue de ses missions, continuera de former les intervenants et de coordonner les efforts avec tous les acteurs», estimant que «la protection de l’enfance en Algérie constitue une responsabilité collective».n