La diaspora algérienne réaffirme sa pleine solidarité avec la cause palestinienne

France

Les participants à la table ronde sur la «Révolution de Novembre 1954 et la Palestine», tenue vendredi à Lyon (France), ont réaffirmé leur solidarité «pleine et entière» avec la cause palestinienne. Dans un communiqué rendu public à la fin des travaux de cette rencontre, organisée par le Mouvement de la diaspora algérienne établie en France (MOUDAF), les participants soutiennent que «le peuple de Palestine est en droit d’attendre de la communauté internationale et du monde arabe en particulier un soutien plus ferme et une action plus résolue pour une paix durable qui passe nécessairement par la satisfaction des droits nationaux légitimes du peuple palestinien à un Etat souverain avec El Qods pour capitale».
Les participants ont accueilli «avec satisfaction» l’entente et l’unité des rangs des Palestiniens, proclamée et consacrée dans la «Déclaration d’Alger», exhortant les dirigeants arabes à «agir avec l’ONU et la communauté internationale, d’urgence et avec fermeté, pour arrêter les massacres barbares perpétrés par l’entité sioniste en Palestine et mettre fin à l’impunité de l’entité sioniste». «Nous appelons avec force les dirigeants arabes à agir et prendre fait et cause pour la légitimité de la résistance palestinienne et l’accompagner sur le long chemin de son combat libérateur légitime», ajoute le communiqué.
Evoquant la 31ème session du sommet de la Ligue des Etats arabes, prévue les 1er et 2 novembre à Alger, les participants ont souligné que le Sommet d’Alger «se tient à un moment où le monde traverse une nouvelle phase décisive de son évolution historique, politique, économique, sociale et culturelle, des enjeux et défis qui interpellent les dirigeants arabes à œuvrer impérativement en harmonie et travailler main dans la main». Cette situation «exige des Etats arabes plus de solidarité et leur impose de rester plus que jamais attachés aux valeurs indispensables à la cohésion et à l’unité», ont-ils soutenu, estimant que cela constitue «un défi que la Ligue arabe doit relever».