Tebboune a vraiment bâti l’Algérie nouvelle

Après trois ans palpitants passés au pouvoir

19 décembre 2019-19 décembre 2022, trois ans sont déjà passés depuis que le huitième président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a pris les commandes du pays succédant au défunt Abdelaziz Bouteflika. Héritant un mandat de cinq ans, dans une Algérie plongée dans de multiples crises, à commencer par le soulèvement populaire, dans un monde en troubles géopolitiques agité par l’apparition de la pandémie de la Covid-19, le Premier Magistrat du pays a su, malgré les grands défis, comment remettre l’Algérie sur ses pieds. Il a tout simplement bâti une Algérie nouvelle.

Dans une courte période, voire en trois ans seulement, le Président Tebboune a déjà réalisé des résultats draconiens dans tous les domaines, malgré l’existence de nombreux autres problèmes. Que ce soit sur le plan interne que celui externe du pays, le Chef de l’Etat a frappé très fort, en emportant l’Algérie vers le berceau du développement et la modernisation. Il a, notamment, ravivé la diplomatie algérienne jusqu’à même s’imposer sur la scène régionale, continentale et internationale. Il a également été l’auteur, voire le véritable architecte qui a remodelé et réformé de nombreux secteurs vecteurs et vitaux du pays, dans une nouvelle ère de perspective et d’ambitions.
En trois ans, le Président Tebboune a rebâti le pays après des années de mauvaise gestion et d’éclipse géopolitique ayant entrainé le pays dans des crises multiples, tout en mettant sur pied une Algérie nouvelle soigneusement définie et tracée par le Chef Suprême du pays. Tout le monde s’accorde aujourd’hui à dire, ici comme ailleurs, qu’il s’agit d’un grand retour de l’Algérie sous l’ère du Président Tebboune. En trois ans, le Chef de l’Etat a remis l’économie nationale sur ses pieds jusqu’à réalisant une performance de 4,6% de sa croissance en 2022, il a également augmenté les salaires, pensions et allocation-chômage (une formule d’aide financière nouvellement réfléchie et mis en application par le Président Tebboune), dans le cadre du soutien au pouvoir d’achat des citoyens. En trois ans, il a remis l’industrie algérienne sur ses pieds, en venant à bout de près de 900 projets à l’arrêt depuis la nuit des temps, tout en créant plus de 70.000 postes d’emploi pour les jeunes Algériens. Et ce n’est pas tout, puisque durant la même période considérée, le président de la République a donné un nouveau souffle à l’industrie maritime, en donnant et en facilitant l’accès aux jeunes entreprises d’étaler toutes leurs talents, connaissances et expériences pour la fabrication de grands bateaux algériens. Sous son ère, l’Algérie nouvelle se dirige droit vers la modernisation.

La diplomatie a renoué avec son âge d’or sous l’ère de Tebboune
C’est le président de la République le plus influent dans la politique extérieure du pays durant ces trente dernières années, le Premier Magistrat du pays, Abdelmadjid Tebboune, a su comment faire repositionner l’Algérie sur la scène internationale et avec une forte et audace manière et ce, à travers ses exploits réalisés sur le plan extérieur. Suscitant une grande admiration de la part de grands chefs d’Etats, tel que le Président russe Vladimir Poutine ou encore le Président chinois Xi Jinping, la politique extérieure de l’Algérie, très équilibriste mondialement, aguerrie par son grand parcours lumineux à travers l’histoire, représentée dignement par une armée de diplomates très aguerris et forgée par des résultats très positifs couronnés par de multiples exploits politiques et diplomatiques, notamment la concrétisation des Accords de paix dans de nombreux pays en conflits armés, a réalisé un grand parcours sous l’ère du Président Tebboune. Renouant avec le passé glorieux de son histoire, l’Algérie et sous l’ère de Tebboune, s’est repositionnée géopolitiquement dans le monde, malgré les multiples tentatives sataniques planifiées par ses ennemis pour empêcher son retour. Après avoir renforcé ses relations avec la Turquie, l’Italie, le Qatar, l’Afrique, les pays du Sahel, ceux du Maghreb, la Chine, les pays de l’Europe, les Etats-Unis, la diplomatie algérienne s’est intéressée, également, aux pays de l’Amérique Latine, notamment Cuba et le Venezuela afin de préparer au retour des pays non-alignés, sans compter le Groupe des BRICS, dont l’Algérie œuvre pour adhérer ce Groupe potentiellement très prometteur.
Toute cette stratégie est l’œuvre du Président Tebboune, ce désormais grand dirigeant ne cesse d’étonner favorablement les Algériens par sa politique extérieure d’antan. Un véritable stratège. Remontant un peu dans le temps, un mois seulement après son élection à la tête du pays, le Chef de l’Etat avait annoncé, en janvier 2020 et lors de son discours livré devant les chefs d’Etat africains, à l’occasion du Sommet de l’Union africaine organisé à Addis Abéba, le grand retour de l’Algérie sur le continent noir. Un retour fulgurant, puisqu’en trois ans seulement, le président de la République a largement dominé la scène africaine de par les grands projets économiques lancés par l’Algérie pour développer l’économie et les échanges commerciaux en Afrique, à commencer par les pays du Sahel. Un grand retour de l’Algérie au devant de la scène régionale, continentale et internationale, à travers le redéploiement de sa diplomatie aguerrie et le retour de sa géopolitique au niveau du Bassin méditerranéen, du Grand Maghreb, du Sahel, de l’Afrique, du Proche-Orient, de l’Europe, des pays non-alignés, allant jusqu’à même viser le Groupe des BRICS, toutes ces zones stratégiques du monde font, aujourd’hui, l’objet d’un assaut géopolitique et géostratégique de la part des hautes autorités du pays à leurs têtes, le président de la République, le grand architecte de la politique extérieure du pays. L’Algérie est devenue un pays clé et hautement important dans cette nouvelle donne. Elle est déjà convoitée et sollicité, grâce à la politique visionnaire et fulgurante menée par le Président Tebboune, par de nombreux pays pour de nouvelles relations politiques, économiques, commerciales et surtout géostratégiques. Les défilés diplomatiques qui se sont succédés au cours de ces trois dernières années, voire depuis l’arrivée du Président Tebboune, sont des signaux révélateurs de cette imposante ardeur furieuse renaissance de la diplomatie algérienne sur la scène internationale. Une diplomatie qui suscite aujourd’hui un grand respect et une admiration totale de la part de nombreux pays de la planète. Alger est devenue un carrefour diplomatique et les visites très nombreuses des Chefs d’Etat, des Premiers ministres et des Chefs de files diplomatiques, sont révélateurs de la place stratégique et de la force de l’Algérie dans sa région en particulier et dans le monde en général.

Allocation chômage, relance des projets à l’arrêt, les fers de lance de Tebboune
Sur le front interne, le président de la République et dès son investiture à la tête de l’Etat, a introduit de nouvelles méthodes de réflexion, de gouvernance et de gestion des affaires du pays et des grands dossiers. Il a notamment introduit de nouvelles idées et mécanismes pour lutter contre le chômage, l’augmentation des salaires, le renforcement du pouvoir d’achat, l’amélioration des conditions d’habitation, la relance économique, le développement local, la relance industrielle, l’évolution agricole, l’exploitation des ressources énergétiques et minières, et bien d’autres domaines clés. L’allocation chômage est sans aucun doute l’une des nouvelles formules qui a rendu l’espoir et le sourire à presque deux millions d’Algériens, une formule financière réfléchie et appliquée par le Président Tebboune. C’est une grosse première pour le pays, l’allocation chômage est enfin mise en œuvre et entrée en application en Algérie en 2022 et sous l’ère du Président Tebboune ; elle a déjà comblé le cœur de près de deux millions d’Algériens. Fixée à l’ordre de 13.000 DA par mois, cette mesure-phare de soutien financier des plus ambitieuses destinée aux chômeurs, dont l’initiateur est le Chef de l’Etat, Abdelmadjid Tebboune, a été versée pour la première fois au mois de mars 2022. Une allocation chômage qui va être augmenté dès le premier mois de l’année 2023. Aussi, le Chef de l’Etat a ordonné l’accélération du processus d’octroi de la carte « Chifa » aux bénéficiaires de l’allocation chômage et l’élaboration d’un fichier définitif recensant les bénéficiaires des contrats de pré-emploi en prévision de leur insertion définitive dans leurs postes. Depuis son élection en décembre 2019 à la tête de l’Etat, le président de la République avait promis de trouver un mécanisme pour soutenir financièrement les citoyens les plus démunis au pays, c’est le cas pour les jeunes chômeurs, dont l’âge varie entre 19 et 40 ans, ces derniers sont les premiers à bénéficier de cette formule financière, qui sera revaloriser dans un mois. Ainsi, durant le mois de mars passé, la première allocation chômage a été enfin perçue par pas moins de 500.000 Algériens sur les 1,9 million de bénéficiaires recensés par l’Agence nationale de l’Emploi (Anem).

Huit millions d’Algériens ont renoué avec la vie grâce à Tebboune
Même les plus éloignés, la population algérienne qui habite les zones d’ombre, n’a pas été oubliée ni discriminée comme ce fut le cas à l’époque de la mafia politique. Dès qu’il a pris les commandes du pays, le Président Tebboune avait donné des instructions fermes pour venir à bout de la misère et des conditions de vie insupportables et indignes, dont vivaient huit millions d’Algériens. « Un an est passé depuis notre dernière rencontre, en septembre 2021. A l’époque où le décollage de l’économie du pays avait repris après deux ans et demi passés dans la lutte contre la pandémie de la Covid-19. Aujourd’hui, nous sommes passées à la vitesse supérieure pour construire ensemble le pays. Je remercie certains walis, car ils ont sauvé une partie de la population algérienne. Grâce à eux nous avons atteints 82% de nos objectifs concernant les zones d’ombre. Nous avons éliminé 82% des zones d’ombre. Il s’agit de huit millions d’Algériens qui vivaient dans des conditions trop difficiles à supporter et à accepter. Nous avons réussi d’introduire de l’eau, l’électricité, le gaz, nous avons aussi retapé des routes, construis des écoles et des établissements de santé.
Certes, nous avons investis des milliards de dinars mais, les gens issus des zones d’ombre méritent cette grande action menée par l’Etat. Protéger les pauvres c’est protéger le pays », avait dit le président de la République lors de son allocution prononcée devant les membres du Gouvernement et les walis de la République en septembre 2022. « J’espère ne plus parler des zones d’ombre à l’avenir », avait avisé le Président.
Sofiane Abi