L’universitaire australo-britannique dit que l’Iran a tenté de la recruter comme espionne

Prisonniers-espionnage

L’universitaire australo-britannique Kylie Moore-Gilbert, libérée après deux ans de détention en Iran pour espionnage, a affirmé mardi que Téhéran avait essayé de la recruter en tant qu’espionne en échange de sa libération. Dans sa première interview depuis son retour en Australie en novembre, Kylie Moore-Gilbert, spécialiste du Moyen-Orient, a raconté que les autorités iraniennes lui avaient demandé « à plusieurs reprises » d’espionner pour leur compte.