L’Évènement

Reprise de l’exploitation du tramway sur toute la ligne

ALGER

L’EMA et la SETRAM ont annoncé, vendredi 3 juin 2022, dans un communiqué publié sur les réseaux sociaux, l’achèvement des travaux relatifs à la démolition du bâtiment sur la rue de Tripoli.La reprise d’exploitation sur toute la ligne du tramway se fera à partir d’aujourd’hui 4 juin 2022. « Nous nous excusons des désagréments rencontrés […]

Une forte explosion de gaz a secoué la Place d’Armes

Annaba

Une forte déflagration a secoué la placette de la Vieille-Ville avant-hier. Vers 16h30 mn, une explosion de gaz de ville suivie d’un incendie a eu lieu dans un appartement à l’entrée de la Place d’Armes, au centre-ville d’Annaba au 3ème étage d’un vieux immeuble. Au bout de quelques minutes les éléments de la Protection civile […]

Malgré ce geste, le pétrole reste très «résistant» !

Opep+ décide d’augmenter symboliquement sa production de 648.000 bj

L’annonce est intervenue le 2 juin à l’issue d’une réunion expéditive des treize pays membres de l’Organisation des pays producteurs de pétrole (Opep) et leurs alliés hors-Opep, chapeautés par l’Arabie saoudite et la Russie. Ils ont décidé d’augmenter leur volume de production un peu plus que prévu dans leur stratégie de production adoptée au mois […]

Nouveau Décret pour la régularisation des constructions non conformes

APN

Le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Mohamed Tarek Belaribi, a indiqué jeudi à Alger que les citoyens pourraient désormais régulariser leurs constructions non conformes au permis de construire délivré, et ce, en vertu du Décret exécutif 22-55. Lors d’une séance de questions orales au Conseil de la nation, conduite par le […]

Zeghdar : «Le CA des groupes publics a augmenté de 18% au premier trimestre 2022»

Relance de 25 entreprises publiques avant la fin de l’année en cours

La semaine dernière, le ministre de l’Industrie, Ahmed Zeghdar a annoncé la relance de quinze (15) entreprises publiques à l’arrêt avant la fin de l’année en cours. Dix autres groupes industriels publics pourraient aussi reprendre leurs activités durant la même période, portant ainsi le nombre des entreprises publiques à relancer à vingt-cinq (25). « 25 […]

La BNA lance un crédit sans intérêts pour financer le Hadj

BANQUE Finance islamique

La Banque nationale d’Algérie (BNA) a lancé, jeudi à Alger, un nouveau produit relevant de la finance islamique, permettant le financement du pèlerinage (Hadj) avec un crédit sans intérêts au profits des pèlerins, baptisé « Essabil ». La cérémonie du lancement de ce nouveau produit, conforme aux préceptes de la Chariaâ islamique et basé sur le principe […]

L’Algérie a saisi 3.000 tonnes de drogue marocaine au 3e millénaire

Soldats, GGF, policiers et douaniers sont tombés au champ d’honneurDepuis l’année 2000 et jusqu’à ce jour, l’Algérie a saisi plus de 3.000 tonnes de drogue marocain, démantelé plus de 10.000 réseaux de trafic de drogue marocaine et arrêté plus 100.000 narcotrafiquants parmi eux figurent des centaines de narcotrafiquants marocains, selon plusieurs rapports annuels établis par les services de sécurité algérien. L’Algérie est devenue l’un des pays rares au monde à réaliser un tel résultat, lui permettant d’être un pays exemplaire et très expérimenté, par excellence, dans le domaine de la lutte contre les drogues. Des résultats qui sont réalisés avec de grands sacrifices, où de nombreux soldats de l’Armée nationale populaire (ANP), Garde-frontières (GGF) du Commandement de la Gendarmerie nationale, policiers de la DGSN et douaniers, ont payé de leur vie pour sauvegarder la terre sainte algérienne du poison marocain. Pour des considérations géopolitiques et géostratégiques que tout le monde connaît aujourd’hui, le Maroc utilise le cannabis pour s’imposer dans sa région et du coup à travers le monde ; d’ailleurs, sur ce registre, le Maroc parvient à faire écouler ses poisons jusqu’à même le Moyen-Orient, là où l’entité sioniste utilise cette plante toxique à des fins financières. La preuve à l’appui, le Makhzen et l’entité sioniste ont ouvert leurs espaces aériens, suite à l’ouverture d’une ligne aérienne directe, afin qu’Israel parvienne à avoir le cannabis marocain en toute quiétude, dont une partie de cette drogue, en centaines de tonnes, sera utilisée dans l’industrie pharmaceutique. Ce n’est pas un secret, Israël a elle-même déclaré le lancement d’une industrie pharmaceutique et médicale propre au cannabis. Chaque année, un rapport de l’ONU fait état de 1.500 tonnes de drogue cultivaient et envoyaient dans le monde par le Maroc, de quoi remplir les caisses du Trésor public marocain en dizaines de milliards de dollars. Ce n’est pas tout, une partie des terres sahraouies qui sont colonisées par le Makhzen marocain est détournée dans la culture de cannabis, l’objectif est de renforcer la production du cannabis et renflouer davantage les caisses du Maroc. Face à cette flagrante criminalité du Makhzen, l’Algérie, le pays le plus puissant sur le plan régional et continental, a affûté ses armes pour contrer les milliers de tonnes de drogue marocaine qui parviennent à ses frontières terrestres et maritimes, et qui menacent la sécurité et la stabilité de la société algérienne en particulier et le pays en général. Une véritable guerre géopolitique qui vise directement l’Algérie. L’Ouest, la porte du poison marocain Les plus grandes quantités de cannabis saisies, selon des rapports établis depuis l’année 2000 et jusqu’à ce jour par les services de sécurité, ont démontré que l’Ouest du pays est l’une des portes essentielles de la provenance de drogue marocaine. Avec un taux estimé à 71%, les plus grandes quantités de drogue marocaine sont saisies dans cette partie du pays, tandis que plus de 20% ont été interceptées dan le Sud du pays, puis 6% au Centre du pays et enfin près de 3% à l’Est du pays. Les saisies de drogue en Algérie par les différents corps de sécurité ont dépassé, pour la première fois dans l’histoire du pays, les 200 tonnes en 2013, dont 63,4 tonnes on été réalisées par les services des Douanes. La raisons de ce rebond, acharnement et envahissement criminel de la drogue marocaine contre l’Algérie repose sur la situation géopolitique qui régnait dans la région en 2013, notamment après les soulèvements populaires en Tunisie et en Libye dans le cadre de ce qu’on appel « Le Printemps Arabe » mais, également, suivant la détérioration de la situation sécuritaire au Sahel. Tous ces ingrédients ont emmené le Makhzen à agir en s’en prenant aux intérêts de l’Algérie en faisant écouler des tas de tonnes de drogue. Entre la période allant du 2013 à 2018, la drogue marocaine a considérablement infiltré les frontières algériennes, où le nombre des saisies de drogue avait dépassé les 700 tonnes ! La conjoncture géopolitique qui sévissait durant la période considérée dans la région du Maghreb mais aussi du Sahel, avec l’apparition de ce qu’on appelle le « Printemps arabe », le retour des conflits au Sahel et l’émergence du terrorisme, ont beaucoup joué au profit des cartels de drogue marocains qui ont largement ciblé et inondé l’Algérie en drogue. Il est très clair que la drogue marocaine est utilisée pour créer une atmosphère d’insécurité et d’instabilité permanente, dont l’objectif est de déstabiliser l’Algérie sur tous les plans. Le Makhzen a fortifié le THC sur la drogue de 5 à 20% en dix ans La guerre à la drogue à laquelle l’Algérie mène depuis plusieurs décennies est entrée dans une nouvelle phase. Si en 2010, la drogue du Maroc contenait un taux de la concentration de la substance active (THC) équivalent à 5%, en 2020, soit dix ans après, le taux du THC dans la drogue marocaine a été, en revanche, quadruplé pour atteindre les 20%. Détruire la santé publique de l’Algérie, tel est l’objectif primordial du Makhzen puis, bien entendu, des milliards de dollars acquis aussi. C’est à partir d’une expertise et d’une étude faites par l’Institut national de Criminalistique et de Criminologie (INCC) relevant du Commandement de la Gendarmerie nationale de Bouchaoui, considéré comme un pôle scientifique d’excellence et premier en Afrique, chargé notamment de soutenir les unités par l’élaboration d’expertises et études, nécessaires pour les différentes enquêtes et lors de l’établissement des différents plans d’actions, qu’une découverte alarmante a été réalisée par les gendarmes experts annonçant une forte augmentation du taux du THC (Tétra Hydro Cannabinol), une plante de cannabis. Cette étude étendue sur le kif marocain, faite par l’INCC, analysant des données scientifiques et opérationnelles d’une durée de dix ans (2010-2020), durant laquelle 30.000 échantillons ont été analysés d’une quantité globale de 1.058 tonnes de la drogue saisie. Les résultats de cette étude réalisée par l’INCC ont révélé ce qui suit : Augmentation considérable, dangereuse pour la santé et inquiétante du taux de concentration de la substance active (THC) dans la drogue saisie de 5% en 2010 à 20% en 2020 et une vaste utilisation de la semence hybride dans la culture du cannabis au Maroc. Cette étude a tiré une conclusion que le haschisch marocain est devenu un danger pour la santé publique, alerte l’INCC, étant donné que son effet néfaste est devenu similaire à celui des drogues dures en raison de la forte proportion de la substance active qui représente 20 %. Autrement dit, les consommateurs accros à la drogue marocaine seront, dans un proche avenir, confrontés à de multiples et graves maladies. Une nouvelle stratégie contre la drogue L’Algérie étant fortement affectée par le fléau de la drogue provenant du Maroc, a été contrainte de changer sa stratégie de lutte en raison du changement des agissements criminels des cartels de drogue marocains, ces derniers ayant élargi leur champ d’activité pour booster leurs trafics. En plus du renforcement sécuritaire aux niveaux des frontières maritimes et terrestres, le durcissement des peines de prison contre les organisations criminelles a été décidé et ce, à travers la modification de l’actuel texte juridique et la politique de prévention contre les effets de la drogue, telle est la stratégie algérienne élaborée et présenté récemment par le ministre de la Justice, Garde des sceaux, Abderrachid Tabi dans le domaine de la lutte contre le trafic de drogues. Le ministre avait déclaré, le 29 mars dernier, que l’Algérie était la cible d’une « action systémique » visant à l’inonder de drogues. « Nous disposons de toutes les données et les statistiques qui révèlent que l’Algérie est victime d’une action systémique visant à l’inonder de tonnes de drogues, d’où l’impératif d’adapter les moyens de lutte contre ce fléau qui s’est largement répandu. Nous sommes conscients de l’ampleur de ce fléau et nous avons des solutions préventives et coercitives », avait déclaré le ministre, qui avait souligné que la révision du texte de loi relatif à la lutte contre le trafic de drogues, étant l’ « une des lois urgentes devant être révisées », insistant l’impérative « prise en charge de l’aspect préventif et le durcissement des peines, notamment contre les organisations criminelles ». 2.000 vendeurs de psychotropes arrêtés en 2021 De plus en plus de jeunes personnes sans revenus pratiquent la vente clandestine de psychotropes car, ce genre de trafic rapporte beaucoup d’argent. C’est ainsi que leur nombre a augmenté durant l’année 2021 puisqu’en face, de grosses quantités de psychotropes, en millions, débarquent dans les quartiers et les nouvelles Cités au grand bonheur des réseaux de trafic. Ainsi, le trafic des psychotropes a connu une augmentation fulgurante durant l’année 2021, et sa présence partout a poussé la Gendarmerie et Sûreté nationale à agir en mobilisant leurs troupes à travers des enquêtes, descentes, perquisitions, arrestations et saisies de grosses quantités de substances stupéfiantes et toxiques. Durant l’année 2021, les différentes brigades territoriales relevant de la Gendarmerie nationale avaient procédé à l’arrestation de 2.056 trafiquants et saisi 2.364.342 comprimés de psychotropes. Comparativement à l’année 2020, il a été enregistré une hausse de 30 % du nombre des trafiquants et de 25 % du nombre des consommateurs arrêtés. Le trafic de psychotropes a explosé durant l’année passée en raison de sa présence massive dans les milieux urbains et suburbains, poussant les gendarmes et policiers à la réplique. En résumé, l’Algérie est devenue une plaque tournante de trafic de psychotropes. Un trafic qui engendre des milliards de dollars pour les narcotrafiquants. Chaque année, près de 8 millions de comprimés de psychotropes sont saisies par les différents services de sécurité composés de l’ANP, Gendarmerie et Sûreté nationales et des services des Douanes. Cette composition de forces est une véritable ceinture de force et un puissant bouclier humain contre le trafic de psychotropes, un crime organisé transfrontalier qui représente un grand danger pour la sécurité et la stabilité du pays. Sofiane Abi

C’est en 1987 que l’Assemblée générale des Nations unies a décidé de réagir face au fléau que représentent les drogues, notamment le cannabis marocain, premier producteur et exportateur au monde avec plus de 1.500 tonnes de drogues produits annuellement, selon des rapports annuels de l’ONU. C’est ainsi que la Journée internationale contre l’abus et le […]

Le CNDH appelle à la combinaison des efforts

Protection, paix et promotion de l’enfance

En célébrant la Journée internationale de l’enfant, qui coïncide avec le 1er juin de chaque année, le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) veut réaffirmer son engagement illimité pour l’émergence de la paix, protection et promotion des droits de l’enfant algérien. Un droit légitime qui ne peut se concrétiser sans la combinaison des efforts […]

Cohérence pour la défense des enfants

1er juin 2022 : Journée internationale de l’Enfance

Les enfants algériens ont célébré hier mercredi la Journée internationale de l’enfance qui colle avec le 1er juin de chaque année, une commémoration, un hommage et des promesses ont été rendus et tenus à l’égard de cette frange catégorie de la société. Comme partout dans le monde, la célébration de la Journée internationale de l’Enfance […]