8.000 Algériens concernés par l’expulsion

Emigration

Les autorités françaises et par la voie du Porte-parole du gouvernement français, Gabriel Attal, ont annoncé hier que la France envisage une expulsion de 8.000 sans-papier algériens.
Le Porte-parole de gouvernement français a indiqué sur Radio Europe 1 que, les autorités judiciaires françaises ont ordonné à 7.731 sans-papier algériens de quitter le pays, et ce, dans une période fixée à sept mois, entre le mois de janvier et juillet de l’année en cours, précisant qu’uniquement 22 migrants concernés ont rejoint l’Algérie, soit un taux de près de 0,2 %.
Le Porte-parole de gouvernement français a imputé cette situation aux autorités algériennes qui, toujours selon ses propos, n’ont pas été coopératives !
En réalité, parmi les sans-papier soumis à l’expulsion du territoire français figurent des migrants accusés dans des affaires du terrorisme et autres récidivistes chose que l’Algérie exige des conditions pour leurs rapatriements, une démarche totalement logique, régulière, juridique et entreprise par l’ensemble des pays.
Pour Gabriel Attal, «l’Algérie refuse de délivrer les autorisations consulaires, un document sans lequel l’expulsion ne peut être effectuée».