Naili Samir, un président exemplaire !

JS Bordj-Ménaïel

Depuis son installation comme président de la JS Bordj-Ménaïel par les membres de l’Assemblée générale, Naili Samir assume convenablement la mission, oh ! combien difficile, qui lui a été assignée.
La priorité des priorités pour Naili Samir est d’être à l’écoute des supporters en raison de sa responsabilité de président des Rouge et Noir, mais aussi paradoxal que cela puisse paraître, c’est parce qu’ il est incontestablement lié à cette région, à cette localité qui la vu naître et qui dans un passé très recent, il a porté les couleurs du club JSBM dans les petites catégories et dont son père Ammi Mohamed plus connu par Sargene était, lui aussi, gardien de but du temps des frères Benabi, des Louanes Izem et autres. Samir Naili est un homme qui a fait et qui continue de faire un excellent travail en laissant l’impression d’un personnage consciencieux, doté d’une forte personnalité et d’une grande intelligence sachant ce qu’il fait.
La preuve, il a été de toutes accessions consécutives durant les quatre dernières années de la JSBM. Les dirigeants, les joueurs, les techniciens, les entraîneurs qui l’ont «côtoyé» disent de lui, que c’est un homme intègre. Les réactions différent d’une personne à une autre, mais ce qui est sûr c’est que Monsieur Samir Naili ne laisse personne indifférent. Tous sont d’accord pour dire que le premier responsable de la JSBM est ouvert à la discussion, au dialogue, qu’il accorde de l’importance à chaque individu et travaille avec acharnement à l’intérêt général du club des Coquelicots. Il ne peut être autrement de la part d’un homme qui aime être à l’écoute des supporters et comme il sait si bien le dire, «l’intérêt de la JSBM prime». Il a toujours travaillé en étroite collaboration avec les responsables, avec tout le monde, le personnage est facile à reconnaître avec son aspect longiligne et sa disponibilité d’être toujours prêt à dialoguer. D’ailleurs, il le dit souvent avec discrétion et il le reconnaît «si je suis à la JSBM, c’est parce que j’aime le club, je ne dois pas trahir la confiance qui a été placée en moi». Monsieur Samir Naili présente les spécificités d’un homme qui n’aime pas le gâchis et qui ne badine pas avec le travail. C’est ainsi que le qualifient les gens qui l’entourent. C’est en quelque sorte une reconnaissance de la gestion des affaires courantes de la gestion du Club, il le dit et le répète, «la JSBM est le bien de toute la population de Bordj-Ménaïel, ce n’est pas quelque chose que j’ai heritée de mon père» d’ailleurs lors d’une émission télévisée à la chaîne el Badil, il a étalé la manière de gérer, il a donné la masse salariale, il a parlé des dépenses enrégistrées. Voilà un personnage qui dit tout haut ce que les gens disent tout bas, des vérités bien appréciées par les présents lors de cette émission : Samir Naili regrette le manque d’intérêt de la part des hautes instances du football algérien, des responsables de la wilaya qui ont abandonné le club en le laissant SDF, car effectivement la formation des Rouge et Noir ne joue pas à domicile étant donné qu’elle reçoit au stade du chahid Bounaâma-Djillali à Boumerdès, des déplacements qui pénalisent les supporters de Bordj-Ménaïel. Une seule fausse note et reproche à mettre sur le dos des responsables de cette formation chère à Ammi Ali Tahanouti, Djouab Ramdane, Taourirt Mohamed, Miloudi Said, Said Hamadache, Achour Agraniou, Ramdani Brahim, Ferhat Aziz, Tonkin Youcef et Abdelkrim, Hattab Boualem, Aidir Hamid, Agraniou mohamed, aux frères Ouriachi, Ghalem Boualem, et des dizaines d’autres amoureux de cette formation, est le fait qu’ils ne sont plus membres de l’assemblée générale du club, ils ont été rayés de la liste et cela avec la complicité de la DJS de la wilaya de Boumerdès ! On a éliminé tous les anciens joueurs et dirigeants qui ont beaucoup donné à cette formation en les remplaçant par d’autres individus qui n’ont rien à faire avec la JSBM.
Kouider Djouab