Une opportunité pour soutenir l’implication de la femme dans la production

Marchés de proximité

Les marchés de proximité ouverts à l’occasion du mois sacré de Ramadan avec la participation, pour la première fois, des femmes rurale, au foyer et de la famille productive, sont une opportunité pour soutenir l’implication de cette catégorie dans la production nationale, a affirmé à Chlef la ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, Kaouthar Krikou.
Dans une déclaration à la presse, en marge d’une visite de travail dans la wilaya pour s’enquérir des activités et opérations de solidarité, initiées à l’occasion du mois sacré du Ramadan, Mme Krikou a estimé que les marchés de proximité, marqués, pour la première fois cette année, par la participation des femmes rurale, au foyer et de la famille productive, «constituent une occasion pour soutenir l’implication de cette catégorie dans la production nationale».
Cette première expérience des marchés de proximité avec la participation de la famille productive, des femmes rurales et au foyer, a assuré la ministre, «va contribuer à la promotion des produits de cette catégorie, en application du programme sectoriel national d’appui à leur implication dans la production nationale».
La ministre de la Solidarité nationale a, par ailleurs, salué cette initiative, qui s’inscrit au titre des instructions du président de la République pour le soutien aux femmes rurale et au foyer et de la famille productive. «Les marchés de proximité peuvent, également, constituer des espaces commerciaux pour la commercialisation de leurs produits», a-t-elle observé.
Mme. Krikou a aussi souligné le rôle de la société civile en tant que «partenaire efficient et authentique du secteur de la solidarité nationale», citant à l’appui l’installation de l’Observatoire national de la société civile qui, selon elle, «va contribuer à la structuration des différents acteurs de la société civile et à l’organisation des opérations de solidarité reflétant l’esprit de solidarité et de volontariat au sein de la société algérienne».