La parasitaire France officielle infecte sa population

Dégénérescence

La parasitaire France officielle infecte, non seulement l’esprit des gens par sa contagieuse idéologie réactionnaire putride, mais également leur corps, soumis à l’intensification de son exploitation par l’élargissement du temps de travail et par la prolongation de la durée annuelle d’activité professionnelle, c’est-à-dire le report du départ de l’âge légal de la retraite.

Dorénavant, l’infecte classe dominante française dégrade la vie des travailleurs non seulement au sein de l’entreprise mais, également, à l’intérieur de leur domicile.
De fait, actuellement, la parasitaire bourgeoisie française fait le lit du fascisme qu’elle héberge dans ses instances gouvernementales et audiovisuelles mais, également, par sa gabegie et incurie, elle permet aux punaises d’infester les lits des prolétaires.
Les parasitaires gouvernants et les polluants patrons de France infestent et infectent ainsi l’existence de la population et du prolétariat sur leurs lieux d’exploitation et d’habitation. Dans leur espace professionnel et dans leur surface domiciliaire. Au vrai, dans tous les espaces. Car, selon les informations, les punaises de lit envahissent non seulement les logements, mais ils prolifèrent également dans les transports (TGV, métros), les cinémas et même les hôpitaux. Du jamais vu depuis les années 1950. Preuve s’il en est que la France est en pleine dégénérescence, putréfaction.
Les prolétaires français sont attaqués et par les agents toxiques gouvernementaux et patronaux, mais également par leurs acolytes ectoparasites, les punaises. Sans oublier leur bras armé répressif et dépressif, la pathologique police, une police atteinte de la rage… de matraquer, de bastonner, d’éborgner, de tuer.
Dans cette France en pleine dégénérescence et putréfaction, la population est dorénavant effroyablement malmenée, violentée, suppliciée. Sacrifiée par les sangsues du capitalisme. Elle subit tous les méfaits de la crise économique, les brutalités de la gouvernance macroninne.
Elle ne trouve pas de sérénité au travail, transformé en lieu d’humiliation psychologique et de torture physique.
Ni de sécurité dans l’espace public, puisqu’elle est agressée en permanence par les délinquants et violentée par la police. Et, désormais, ni de sommeil, étant entendu qu’elle est envahie et harcelée par les punaises, ces ectoparasites ressuscités par les mortifères dirigeants gouvernementaux et municipaux, par suite de leur politique de restriction du budget alloué à l’entretien et la désinsectisation des espaces publics et des habitations.
Pour le moment, pour maintenir le statu quo, c’est-à-dire éviter de débloquer de l’argent en vue d’éradiquer les punaises, par des manœuvres dilatoires, les municipalités (de Paris) se défaussent en accusant l’État d’être responsable de la propagation des insectes hématophages. De son côté, l’État fait de même. Il se dédouane de toute responsabilité dans la prolifération de l’infestation, et incrimine les municipalités.
Pis. Pour s’exonérer, ces parasitaires institutions étatiques et municipales invitent les résidents de se rapprocher de leur compagnie d’assurance pour la persuader d’inscrire dans le contrat une clause où le « risque ectoparasite » soit intégré au contrat d’assurance habitation. Autrement dit, l’État comme les communes actent l’existence définitive des punaises, ressuscitées par l’absence de traitement de désinfection et désinsectisation, et chargent les assurances d’accompagner et de compenser financièrement cet état de fait parasitaire.

La ville de Paris demande à l’État d’organiser rapidement des « assises de la lutte contre les nuisibles »
La population laborieuse française devrait également, diligemment, organiser sa riposte pour lutter contre les Nuisibles institutionnels de France, cette espèce parasitaire invasive, c’est-à-dire la classe dominante : tous les dirigeants, gouvernementaux, municipaux, patronaux.
Ces parasites institutionnels et financiers ont un point commun avec les punaises : ce sont des suceurs de sang humain.
Suceurs de sang qu’il est impératif et urgent de politiquement éradiquer pour les empêcher de continuer de nuire. De poursuivre leur macabre entreprise de nuisance des populations autochtones précipitées dans la paupérisation et la pathologisation, mais également des peuples des autres nations, menacées d’anéantissement par les visées interventionnistes militaires et préparatifs de guerre de ces bellicistes officiels de France en plein ensauvagement et réarmement.
Khider Mesloub