Les «deux poids deux mesures» de la CPI

Le procureur de la Cour pénale internationale daigne enfin sortir de son mutisme après quatre semaines de génocide à Ghaza

Il a fallu près de quatre semaines de génocide perpétré par l’entité sioniste contre la population de Ghaza et près de 10.000 martyrs civils pour que le procureur de la Cour pénale internationale daigne sortir de son mutisme.Après une tentative d’entrée dans la bande de Gaza par le terminal de Rafah, ce qui se passe dans la bande de Gaza ne peut être compris, toute personne croyante ne peut l’accepter, soulignant qu’une enquête sera menée pour faire respecter les droits de chacun, note l’agence de presse palestinienne Wafa.
Khan a exprimé son espoir de se rendre dans la bande de Ghaza pour rencontrer les citoyens qui souffrent et pour remplir l’engagement du tribunal envers eux d’obtenir justice, notant que « depuis plus de deux ans, le tribunal enquête sur les incidents liés aux territoires palestiniens et enquête sur les commissions de crimes de guerre contre l’humanité, et nous essayons de trouver des solutions autant que possible, note Wafa. Il a ajouté qu’il suit ce qui se passe sur les écrans concernant le meurtre d’enfants et de filles palestiniennes innocentes, qui, au lieu d’aller à l’école et de s’amuser, sont exposées à ces tristes événements, soulignant que la souffrance est indescriptible dans Gaza et la situation sont terrifiantes et effrayantes, mentionnant que ce sont des Palestiniens innocents qui perdent la vie et sont exposés aux blessures, et « nous ne pouvons pas rester silencieux à ce sujet », note Wafa. Il a fallu près de quatre semaines de génocide perpétré par l’entité sioniste contre la population de Ghaza et près 10.000 morts civils pour que le procureur de la Cour pénale internationale daigner parler. Et encore, il n’évoque aucune mesure légale contre les responsables de l’entité sioniste pour le génocide perpétré contre la population de Ghaza. Le procureur de la Cour pénale internationale fait dans les deux poids, deux mesures.
Abdelkader T