Ce qui importe le plus en toute chose

Chemins de réussites

Tout est possible pour qui croit aux meilleurs résultats possibles mais à condition que l’on ait l’intention de ne jamais faillir quelles que soient les difficultés auxquelles on peut être confronté.

On a coutume de parler en termes de résultats à l’école dans un corps de métier, en gestion. «Il n’y a pas de raison que j’échoue là ou d’autres ont réussi», citation d’un penseur devenu un principe sacré pour quiconque a juré de réussir dans tout ce qu’il entreprend et honnêtement.
A moins que le destin ne vienne compromettre sa démarche judicieuse, conçue pour des résultats louables, toute personne pleine de qualités et décidée à bien faire pour mieux servir autrui, ne peut que susciter de l’admiration au sein de sa société. Il en va ainsi de l’inventeur dont le nom peut traverser les frontières.
Des prédispositions et une vocation pour de bons résultats
Pour ne pas rester dans l’abstrait, nous vous citons des cas convaincants d’acteurs contemporains innée ou acquise, ont cherché à aller au-delà de leurs connaissances pour faire avancer la science, la technique et l’art en tant qu’imitation de la nature. Leurs travaux ont été couronnés de succès. Et à force de travailler, ils sont arrivés au stade des inventions et découvertes à la manière d’El Kahawarizmi qui a inventé les mathématiques d’Ibn Khaldoun universellement reconnu comme le père de la sociologie. Parlons beaucoup et surtout des inventions et découvertes qui ont aidé l’homme à améliorer son environnement comme l’électricité qui a été une découverte grâce à un physicien de la première moitié du 19ème siècle. Il s’était assis devant la porte de sa maison, par un soir d’orage quand tout à coup il s’était rendu compte que les éclairs étaient des décharges électriques naturelles exactement comme la foudre et à force de se concentrer sur le phénomène atmosphérique, il finit par en comprendre les causes : que les éclairs et la foudre sont de l’électricité naturelles obtenues par frottement des nuages les uns contre les autres ; quant au tonnerre, c’est le bruit qui suit la décharge électrique. Pourquoi ne pas produire de l’électricité artificiellement s’est dit le physicien qui se mit immédiatement à frotter des corps les uns contre les autres. Il a obtenu le même effet que les techniciens avaient mis en application par la fabrication des turbines qui ont produit du courant électrique en se mettant en mouvement grâce à des chutes d’eau continues. L’énergie nouvelle non polluante venait d’être mise au point.
C’est un Italien d’origine Milanaise qui a inventé la lampe électrique en 1879, après de multiples échecs étalés sur des années de travail qui l’avaient matériellement ruiné. Il avait vendu ses meubles pour avoir de quoi continuer son travail de recherche ; ce qui comptait pour lui c’était le résultat et il a fini par le concrétiser puisqu’il avait réussi à obtenir une vraie ampoule en verre qui s’étaient allumée, et depuis, cette ampoule a été perfectionnée et fabriquée industriellement.
Ce Milanais installé en Amérique, inventeur de l’ampoule électrique avait aussi inventé le télégraphe, le téléphone, le phonographe de 1864 à 1879. Ces inventions n’étaient-elles pas arrivées à point nommé pour rendre plus facile et agréable la vie. C’est ce qu’avait fait Pascal qui à 18 ans, au 17ème siècle a inventé la 1ère machine à calcul pour que les comptables à qui il arrive de faire des opérations astronomique, se fatiguent moins.

Travailler pour changer le monde en bien
Les changements opérés au cours des siècles que ce soit en bien ou en mal, sont en fait le fruit d’un travail. Dans chaque famille professionnelle, il y a des travailleurs qui font des efforts constants pour se rendre plus performants sur le plan de la qualité et de la quantité du travail, se traduisant pas le terme de rendement qualifié de satisfaisant, moyen, médiocre, nul. Et le résultat peut être bon pour l’ensemble des collègues, sinon préjudiciable pour l’avenir de la famille professionnelle. Prenons le cas d’un domaine très sensible pour l’avenir du pays : l’éducation qui connaît des hauts et des bas, depuis les origines. Dans tous les pays du monde il y a un système éducatif conforme à la culture du pays, à ses traditions, à son niveau de vie, à sa civilisation, à son histoire, à l’éducation parentale ; cette dernière devant être en parfaite harmonie avec l’éducation scolaire. Le comportement des jeunes sortant du cycle scolaire est à l’image de l’éducation reçue à l’école, au lycée.
On dit d’ailleurs à l’échelle universelle que «l’école ne vaut que ce que valent ses éducateurs». Des milliers d’enseignants éducateurs exercent leur métier noble, chacun à sa façon même si les manuels scolaires et els programmes sont les mêmes. Et leurs résultats ne sont pas les mêmes. Les uns s’efforçant de mieux faire assimiler des connaissances en veillant au comportement de chaque apprenant. Les autres font du mieux qu’ils peuvent, mais sans se soucier des résultats, ignorant qu’un mauvais travail pédagogique a toujours un impact néfaste sur l’apprentissage à court et à long terme. Ce qu’on peut dire concernant ce domaine capital pour l’avenir du pays, c’est qu’il y a une grande différence entre les éducateurs-enseignants, comme entre les chefs à tous les niveaux : directeurs, conseillers, inspecteurs qui ont des attributions pédagogiques. Les défaillances de chacun peuvent avoir de graves répercussions sur les élèves, à l’avenir. Par ailleurs, un travail soigneux et continu sur une longue période, sinon des années de pratique du métier est à la longue bénéfique pour celui qui l’exerce et pour les apprenants.
On dit que le véritable enseignant est celui qui se remet en question à chaque instant pour améliorer les résultats au maximum. Ce qui laisse supposer un travail de recherche réalisé sous l’effet de l’idée de bien faire, la recherche de l’excellence et de la motivation auprès des apprenants c’est ce qui explique pourquoi des enseignants hors catégorie se sont fait connaître par le travail pédagogique digne d’admiration, la publicité qui leur est faite dans leur entourage par les élèves peut être suffisante pour leur bonne renommée.
C’est à force de surmonter les difficultés, qu’on repense ses procédés et méthodes pédagogiques pour les rendre plus performants. Avec la maîtrise du métier, des matières enseignées et de la langue d’enseignement s’ouvre la voie de l’écriture de textes ou de livres pédagogiques qui sont autant de références pour l’auteur sur ses capacités à apporter un plus de savoir sur les domaines psychopédagogiques. Et que de découvertes on peut faire en cherchant bien dans d’autres métiers si les investigateurs ont pour souci majeur les meilleurs rendements possibles.
Abed Boumediene