La gouvernance sénile de Joe Biden illustre-t-elle le déclin des États-Unis ?

Confusion mentale

Depuis son élection, le sénile Président Biden, aux facultés intellectuelles amoindries, perd la raison. Excepté la raison d’État qu’il n’oublie pas de défendre avec abnégation bourgeoise et dévotion impérialiste.Plus inquiétant pour un président de la première puissance mondiale, en proie à la confusion mentale, il confond les époques, au point de ressusciter des présidents morts qu’il affirme avoir récemment rencontrés.
En tout cas, les confuses déclarations de Biden prouvent sa déficience intellectuelle, sa fragilité psychologique, signes d’une dégénérescence cérébrale avancée.
Le sénile Biden symbolise la décrépitude d’une Amérique en déclin. Le grabataire et génocidaire Biden est l’homme idoine d’une Amérique dégénérative, d’une société américaine en pleine putréfaction. Biden est à l’image de son pays en plein naufrage. De nombre de ses concitoyens aliénés, déphasés, désaxés, déséquilibrés, à la gâchette facile, capables de se transformer en serial killer.
Quoique dégénéré et amnésique, le génocidaire Biden n’oublie pas, en revanche, de se montrer généreux avec la mafia gouvernementale ukrainienne et israélienne qu’il arrose de plusieurs dizaines de milliards pour soutenir leurs efforts de guerre. Sa guerre génocidaire, dans le cas d’Israël.
Dans les périodes de décadence de civilisation, la population livre souvent le pouvoir à des personnalités les plus méprisables. À croire qu’elle n’a plus aucun sens de la dignité, qu’elle a sombré dans le mépris de soi. De là s’explique le choix de ses représentants désignés à son image. Le populisme dégénératif n’est que le reflet de cette société américaine en déclin, de la populace plongée dans le pétrin, baignant dans l’immonde lit politique de purin.
Biden représente la quintessence du capitalisme américain en pleine dégénérescence. C’est le capitalisme américain décadent qui a propulsé Biden au pouvoir. Ce n’est pas Biden qui a précipité le capitalisme américain dans sa phase décadente. À notre époque marquée par l’effondrement économique et l’anéantissement de toutes les valeurs humaines, quelle utilité aurait Wall Street de coopter, comme elle a toujours fait, à la Maison Blanche un homme jeune et équilibré, qui plus est doté d’une érudition scientifique et d’un savoir encyclopédique ? Les intérêts des banques et des entreprises ne s’embarrassent plus de philosophie politique ni de littérature scientifique. Ni de la salubrité morale, de l’hygiène spirituelle et de la santé psychologique de leur candidat. Ces dernières années, talonnée par l’interminable crise économique qui la poursuit sans répit, la dégénérative oligarchie financière américaine finit immanquablement par jeter son dévolu sur un homme de son dégénéré sérail pour tenter de sauver le capital américain. Apres Trump le fou, Biden le sénile. Jamais dans l’histoire contemporaine des États-Unis, ce pays aura été gouverné par des dirigeants, au niveau autant parlementaire que ministériel, présidentiel que patronal, aussi irresponsables que dangereux, aussi incapables qu’inutiles, aussi ridicules qu’insignifiants, aussi incultes qu’immatures, aussi cyniques que psychopathes, aussi bellicistes que génocidaires. Jamais ils n’ont sabordé leur pays avec tant de cynisme, précipité leurs populations dans la paupérisation et la détresse psychologique, au nom de l’économie capitaliste irrationnelle, activant principalement au démantèlement de tous les services sociaux et la destruction des moyens de production, exception faite des capitaux financiers des capitalistes en constante augmentation. Si on devait se livrer à une comparaison historique marquée par le déclin, on peut citer volontiers l’exemple de la Russie tsariste. En effet, à la fin du règne de la dynastie des Romanov, pour tenter de sauver le régime monarchique, le trône a été délégué à un personnage rustre et mystique, l’ineffable moine Grigori Raspoutine, qui a exercé une immense influence sur la couronne tsariste. Ancien truand et violeur (Biden, tout comme Trump, n’a-t-il pas été accusés de viol par quelques femmes ?), Raspoutine est devenu le véritable détenteur du pouvoir tsariste en déclin grâce notamment à ses prétendus pouvoirs thaumaturgiques et surtout thérapeutiques (Trump puis Biden avaient également promis des miracles aux Américains. Au final, les prolétaires américains auront des larmes, de la détresse, du chômage, et surtout la guerre et la famine, et bientôt la répression sanglante policière et militaire pour mater les inévitables révoltes de la faim).
Raspoutine prétendait pouvoir soigner l’héritier du couple royal atteint d’hémophilie (hémorragies graves apparaissant au moindre traumatisme : l’hémophilie du fils symbolisait celle du régime monarchique en plein écroulement sanguinaire), par la combinaison d’incantations religieuses, conjurations d’esprits maléfiques (Trump et Biden sont les fils spirituels de Raspoutine, leurs incontinences verbeuses emplies de promesses salvatrices s’apparentent à des incantations byzantines).
Devenu un obstacle pour la noblesse russe exclue du pouvoir, Raspoutine finira par être assassiné en décembre 1916, afin d’éviter la ruine et la chute du régime. Mais son entreprise désespérée n’a pas conjuré l’effondrement définitif de la monarchie tsariste deux mois plus tard, précipitée par la Révolution entamée en février 1917.
Biden, président d’une Amérique sclérosée, parvenue à sa fin, incarne-t-il le dernier président des Etats-Unis ? Sa gouvernance annonce-t-elle le crépuscule de l’Amérique ? Prépare-t-elle l’ultime révolution sociale qui balaiera définitivement la civilisation Disneyland, ce royaume enchanté américain ?
Khider Mesloub