Qui est derrière le blocage de l’ouverture du stade de «proximité» de Sidi Djillali ?

Sidi Bel-Abbès

Distingué par une position géographique stratégique, limitrophe aux rails du tram, devant la daïra biométrique à proximité du rondpoint et proposant un paysage verdoyant avec sa couverture en gazon synthétique posé neuf, le stade de proximité du grand quartier populaire de Sidi Djillali reste toujours fermé malgré son inauguration par le wali Chibani Samir avant la fête de l’Aïd el Fitr.Ce problème a été vécu aussi au quartier Boumelik ex Campo et à village Rih. Des conflits ont éclaté dans la durée mais aucune expérience n’a été retenue. Des personnes avec la complicité de certains cadres de la mairie se sont données le droit et l’autorité de se proposer avec force de gérer un stade de «proximité», prévu pour toutes équipe de jouer du foot ou toute personne désireuse de pratiquer du sport sans contrainte ni protocole pouvant distinguer des uns par rapport à d’autres et ainsi créer un climat d’exclusion et d’injustice.
Selon la même source, un document a été ramenée de l’APC par un président d’une association, sur lequel des journées ont été programmées pour des «amis» dans un cafeteria loin de toute transparence. Une liste décriée par un grand nombre d’exclus. Ces pratiques ont déjà fait leurs effets provoquant un grand mécontentement, avant même que le stade ouvre ses portes.
Une enveloppe considérable a été dépensée pour l’aménagement de ce stade pour le bien de la société en matière de santé, d’éloignement des fléaux sociaux et celui d’un paysage urbain et environnemental. Les autorités doivent veiller à accompagner ces beaux projets qu’ils ne débutent dés le premier jour dans le chemin de la dégradation. Il suffit de visiter le stade de village Rih est celui de Boumelik ex CAMPO. La déception et le chagrin n’ont pas trop tardé à s’exhiber pour proposer une réelle désolation.
Djillali Toumi