Les experts du contrôle de conformité veulent contribuer pour la réussite de l’opération

Recensement général de l’agriculture

Profitant de la rencontre fortuite, avec
M. Mekhalfia Farid ex-ingénieur des Mines et actuellement membre du bureau national et porte parole de l’Association nationale des experts du contrôle de conformité agréés auprès des tribunaux et des instances judiciaires, et suite au débat engagé autour du recensement général de l’agriculture, il décide, après un contact avec le président de l’Association de faire une déclaration que nous nous faisons le plaisir de reprendre pour qu’elle soit transmise aux responsables nationaux afin que leur corporation puisse participer et donner un cachet de sérénité et d’honnêteté à la démarche. Voici l’intégralité de sa déclaration au nom des 100 experts agréés auprès des instances judiciaires de l’Algérie. «Notre pays entame une nouvelle ère. Avec cette activité stratégique notre Association nationale des experts de conformité des véhicules, nous pouvons apporter une valeur ajoutée pour les véhicules et le parc roulant.
Concernant le recensement général de l’agriculture notamment l’état technique des parcs logistiques, l’état technique des unités industrielles agro-alimentaires ainsi que les engins qui ont une intervention et un impact directes sur la production agricole. Les engins spécifiques qui ont un lien ou une intervention directe sur la production ou sur le terrain, c’est-à-dire les moissonneuses-batteuses les tracteurs et tout autre engin mobile ou dans le domaine agricole. Nous souhaitons participer à l’effort national et nous pouvons assurer la couverture sur tout le territoire national. Nous sommes 100 experts agréés et nous couvrons l’ensemble des wilayas. Nous avons une bonne expérience que nous avons cumulée lors de nos parcours professionnel lorsque nous dépendions du ministère de l’Industrie et des Mines.
Nous rappelons que nous sommes des experts agréés auprès du ministère de la justice», fin de citation. Les décideurs auront une meilleure visibilité.
Cet intérêt n’existait pas et ce n’est que parce que l’on commence à y croire pour que des professionnels commencent à s’engager avec de telles opérations. Les militants de l’agriculture et d’une Algérie souveraine existent partout en Algérie. Les quelques journalistes qui restent encore en activité en font partie.

L’engouement enthousiasmé des citoyens fait renaître l’espoir
Pratiquement, c’est le sujet de discussion chez les citoyens. Les uns vont avec beaucoup d’enthousiasme et de lectures nationalistes. D’autres n’ont rien à leur envier et ne vont pas du dos de la cuillère en espérant voir que les biens détournés et mal acquis soient reversés au fond du patrimoine collectif. Par contre, «ceux qui se sont enrichis» avec les biens de la collectivité, engagent des discussions et émettent des avis moralisateurs contre le kofr et le communisme (comme si ce dernier existait et est pratiqué par les commis de l’Etat). Enfin et c’est possible de s’élargir aux autres couches ou strates de la société qui font partie des heureux perdants. Ils sont désignés ainsi parce qu’ils se font avoir à chaque fois et comme les moutons vont en courant à la tuerie presque fiers. Pour exemple lors de la présentation de la solution de la triangulaire, ils ont gobé en long et en large sans anesthésie l’intox que l’Etat est en train de fomenter une farce qui lui permettra d’inventorier les cheptels pour les imposer.
Ces derniers ne seront convaincus que lorsque le ministre de l’Agriculture suivi par le ministre des Finances et enfin le président de la République feront des déclarations sur la non-imposition des moutons. Ils ne font pas confiance au président du Conseil national interprofessionnel des filières des viandes rouges. Ils disent que ce sont des gens comme lui qui achètent des postes avec l’offrande de 25 vaches qu’ils importent.
Ce sont des mauvaises langues qui disent vrai et qui disent faux. On n’arrive plus à comprendre. Car ceux-là même disent qu’ils dénoncent la répartition des aliments du bétail et ce sont eux-mêmes qui leur vendent cet aliment très très cher. Ils sont des pompiers pyromanes.
Pour revenir au recensement général de l’agriculture, il est impératif de ne pas donner suite aux interférences et ne pas prendre en considération les interventions. Il faut que notre Président ami Tebboune assure la protection et l’immunité au ministre et à ses collaborateurs. Car l’avenir de l’Algérie ne doit souffrir d’aucune tare qui démobiliserait les citoyens. Djillali Harfouche