Les plans subversifs du mouvement terroriste ‘’Rachad’’ et ses liens avec le terrorisme international dévoilés

Documentaire

Un documentaire diffusé par la Télévision algérienne, vendredi soir, a dévoilé les plans subversifs du mouvement terroriste ‘’Rachad’’ et ses liens directs avec les organisations terroristes internationales et les services de renseignement de pays étrangers hostiles dans le but de déstabiliser l’Algérie et d’y semer le chaos.
Intitulé ‘’Rachad… le terrorisme et les masques de l’assassinat de la conscience’’, le documentaire révèle, preuves et témoignages vivants à l’appui, les principaux objectifs et les sombres desseins pour lesquels ce mouvement terroriste a été créé, en 2007, sur les ruines du parti dissous du Front islamique du salut (FIS), et la voie de la violence et de la clandestinité choisie par ce mouvement, qui prêche la désobéissance civile.
Parmi ses principaux fondateurs, on retrouve d’anciens militants du parti dissous comme Abbas Aroua et Mourad Dhina, qui est impliqué, en tant qu’émir de la ‘’serriya des moudjahidine à l’étranger’’, dans des opérations de trafic d’armes au profit des groupes terroristes, qui activaient en Algérie à partir de 1993, et dont le nom est lié à plusieurs affaires de soutien logistique aux groupes terroristes.
Le documentaire montre les témoignages de membres dissidents de ‘’Rachad’’ ayant bénéficié des mesures décidées par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, dans le cadre de sa politique de la main tendue, lesquels dissidents ont révélé que les slogans qui ont fortement émergé lors du Hirak populaire en Algérie, en 2019, en faveur de la démocratie et de la légitimité cachaient en fait de sombres desseins malveillants d’un groupe de mercenaires à la tête du mouvement.
«Ces mercenaires cherchaient à accéder à des postes et à la richesse en se vengeant de l’Etat algérien». Pour ce faire, ils récoltaient des fonds en répandant leurs faux slogans visant à diviser les Algériens, à attiser la haine entre eux et à démembrer le pays», a dit le dissident du mouvement Seddik Daadi, qui était le garde du corps des anciens chefs du parti dissous Abassi Madani et Ali Belhadj.