Le calvaire au quotidien des citoyens d’Ouled Srour

Alimentation en eau potable à Relizane

Un constat amer et à la fois révoltant lorsqu’on sait que les autorités ont donné des assurances fermes quant à une alimentation régulière de ce liquide précieux et du courant électrique.

Que ce soit dans le chef-lieu de wilaya ou dans les autres communes, l’eau potable a fait défaut dans presque la totalité des quartiers qui comptent des populations importantes, comme Ouled Bouali, Touati. Mohamed, un cadre de l’Etat résidant audit village, trouve «inconvenant» et surtout «salé» le prix qu’il débourse, une fois par semaine, pour s’approvisionner en eau à travers les citernes. Pourtant, ce n’est pas le prix, fixé de 1.000 à 1.200 dinars qui le préoccupe, mais la qualité de ces eaux douteuses, «ramenées depuis des sources à la périphérie et depuis certains puits dont certains ne semblent même pas être contrôlés». Il en est de même pour le courant électrique : la journée d’hier a été marquée par des coupures intempestives de cette énergie, ce qui a causé bien des désagréments aux citoyens.
N.Malik