L’Association algérienne de médecine sportive intègre l’Union arabe

La Der

L’Association algérienne de médecine sportive, créée en février 2019, a officiellement intégré l’Union arabe de la spécialité, a appris l’APS lundi auprès du président de l’institution algérienne, Hicham Allem. «L’Union arabe de médecine sportive nous a confirmé l’acceptation de notre demande d’adhésion.

Nous en sommes satisfaits. Nous félicitons pour cela l’ensemble des membres de notre association en les exhortant à poursuivre leurs efforts pour davantage de succès», a affirmé Dr Allem. L’Association algérienne de médecine sportive, dont le siège se trouve à Saïda, a vu le jour le 14 février 2019. Elle compte 22 commissions de wilaya et 48 bureaux de wilaya. «L’ANAMS prépare actuellement la tenue d’un séminaire international de médecine sportive et chirurgie orthopédique à Oran, simultanément avec les Jeux méditerranéens-2022 prévus dans la même ville», a fait savoir Dr Allem, ajoutant : «Nous avons obtenu l’accord de l’Université 1 d’Oran pour établir une convention de partenariat en vue de l’organisation d’évènements scientifiques en relation avec la médecine sportive. Nous nous sommes mis d’accord également pour créer une commission mixte chargée d’organiser diverses activités scientifiques».
Le président de l’ANAMS a indiqué que l’association qu’il dirige comprend également une commission qu’il a qualifiée d’«importante», à savoir la commission «Santé et hygiène des athlètes de haut niveau», laquelle est présidée par la championne de karaté en Kata, Kamelia Hadj Saïd. Parmi les nombreux objectifs de l’ANAMS, figure notamment la participation et la contribution aux activités scientifiques et sportives au niveau local, national ou international lorsque la nécessité l’exige. «L’association vise également à organiser des conférences scientifiques et manifestations sportives à même de contribuer à l’enrichissement des connaissances liées à la médecine sportive», a précisé la même source. Selon son président, l’ANAMS demeure «ouverte et disposée à toute coopération avec les collectivités locales et institutions de la société civile, dans le domaine de la médecine du sport. Elle se veut également un apport aux athlètes dans l’accomplissement de leur activité sportive et dans le contrôle de leur santé».
R. S.