Albares, chef de la diplomatie espagnole, un poste plus grand que ses compétences

Miguel-de-Cervantes, Fernando Novo Lens dénonce

L’Espagnol Miguel-de-Cervantes, Fernando Novo Lens a regretté que quelqu’un comme José Manuel Albares, «qui est chargé d’atteindre les plus hauts niveaux d’inefficacité et de perte de prestige pour notre politique étrangère», dit-il, soit à la tête de la diplomatie espagnole.«Je pense que le poste de ministre des Affaires étrangères est très grand pour ce personnage qui est si incompétent et privé de relations diplomatiques de haut niveau», a fustigé le responsable espagnol.
«C’est sans doute pour cela que partout où il va, il prend des photos et les met sur les réseaux sociaux (comme LinkedIn), peut-être pour montrer qu’il était là, au lieu de laisser les bons résultats parler pour lui», s’est-il moqué. Evoquant «l’attitude ignoble (empreinte) de lâcheté et d’incompétence» du ministre Albares qui est allé se plaindre à l’Union européenne (UE) pour l’aider à résoudre le problème, le président de l’association a souligné que cette démarche «donne une idée de la faiblesse et de l’incompétence de ce gouvernement à l’international».
«Je voudrais savoir jusqu’à quel point Albares a été juste en racontant à Bruxelles ce qui s’est passé, s’est interrogé le responsable espagnol. J’espère qu’il n’a pas dit des demi-vérités dans le seul but de demander de l’aide», note le président de l’Association culturelle hispano-algérienne Miguel-de-Cervantes, Fernando Novo Lens.
Novo Lens a, cependant, regretté que l’UE ait fait «des déclarations malheureuses, sans avoir parlé avec l’autre partie» et qu’elle «ne voit pas avec la même extrême préoccupation l’occupation illégale du Sahara Occidental ainsi que le pillage de ses richesses naturelles». «Cela me fait très mal de voir comment un avenir d’opportunités, de collaborations et de croissance conjointe dans de nombreux secteurs est ruiné à cause des mauvais arts d’une personne qui a fait du mensonge, de la méfiance et de la trahison sa façon de gouverner», a regretté Fernando Novo Lens.