L’Algérie a pu adapter sa législation au cadre d’action de Sendai

Réduction des risques de catastrophes

Des experts algériens qui ont pris part, mardi, à Guelma à une session de formation sur «Les modalités d’élaboration d’une stratégie locale pour réduire les risques des catastrophes selon une approche japonaise», ont considéré que «l’Algérie a fait de grands pas pour adapter sa législation au cadre international de Sendai pour la réduction des risques de catastrophes pour la période 2015 – 2030». Mme Amina Amraoui, représentante du ministère de l’Intérieur, des collectivités locales et de l’aménagement du territoire, chargée de la gestion du dossier coopération en matière de réduction des risques de catastrophes et point de contact national du cadre Sendai (ville japonaise), en Algérie, qui a participé à une rencontre de formation organisée à la salle des conférences de la wilaya, pendant deux jours, a indiqué que «l’élaboration de la stratégie nationale de réduction des risques de catastrophes a été achevée, elle est actuellement au stade de la discussion au ministère».
La même intervenante qui s’exprimait devant les cadres de l’exécutif local et des membres des Assemblées populaires communales de Guelma, ainsi que les représentants de la direction de la Protection civile et de la Conservation des forêts de la wilaya de Skikda, et les membres de l’APC de Skikda, a souligné que «l’Algérie œuvre à mettre en pratique ses engagements vis-à-vis du cadre de Sendai, adopté durant le troisième Congrès mondiale de l’ONU tenu à Sendai (Japon) en 2015, en enrichissant sa législation et ses textes règlementaires et organisationnels en matière de réduction des risques de catastrophes, et en introduisant des amendements à certains textes de lois concernées».
Agence