6 nouvelles plate-formes numériques pour concrétiser la gouvernance dans la gestion du secteur

Enseignement supérieur

Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari a présidé, mardi dernier à Alger, le lancement de six plateformes numériques, portant ainsi à 35 le nombre total de plateformes initiées par le ministère. S’exprimant à cette occasion, M. Baddari a expliqué que le lancement de ces nouvelles plateformes intervenait dans le cadre de la poursuite de la numérisation du secteur, et ce au titre du programme 42+4 plateformes électroniques. Ces nouvelles plateformes comprennent «la plateforme du guichet unique électronique qui permettra de fournir des services à près d’un quart de millions d’employés du secteur, ce qui est de nature à concrétiser le principe d’efficacité et d’efficience dans la gestion administrative, en sus d’une autre plateforme dédiée à la documentation et à la certification des documents de scolarité de tous les diplômés depuis indépendance», a-t-il ajouté. Il s’agit aussi, poursuit le ministre, de la « plateforme du portefeuille électronique qui vient renforcer la démarche de certification électronique adoptée par le ministère pour atteindre l’objectif «zéro papier». M. Baddari a cité également la plateforme dédiée à la publication des recherches scientifique dans le domaine médical, première du genre au niveau national, la plateforme dédiée à la gestion des incubateurs universitaires (84 incubateurs), et une autre plateforme consacrée au quitus. A cette occasion, le ministre a supervisé la mise en ligne d’une nouvelle application dite «le portail de l’étudiant» fournissant des informations relatives à la vie estudiantine.Le programme 42+4 plateformes numériques prévoit le lancement de 42 plateformes en lien avec le volet pédagogique et recherche, et 4 autres relatives à la gestion des œuvres universitaires à l’instar du transport, l’hébergement, et la restauration. Il s’agit par ces mesures de parvenir à une gestion optimale du secteur qui veille à promouvoir la qualité de l’enseignement, à développer la visibilité de l’université sur le plan international, et à améliorer le classement mondial des établissements du secteur.n