Hymne à la paix pour Ghaza

Conseil de sécurité de l’ONU

En tant que simples citoyens d’un monde où une violence inouïe se produit dans une partie de la planète depuis particulièrement le 7 octobre dernier, nous sommes indignés par la passivité de l’ONU.
Des gens meurent par milliers sans retenue, des dizaines de milliers sont blessés ou handicapés à vie.
Enfants, femmes, jeunes, vieux, tous sans distinction subissent une mort atroce sous les débris de bombes tels des centaines de morts dans un lieu de soins, la destruction d’un hôpital.
L’ONU a été fondée pour faire la paix après les atrocités de la Seconde Guerre mondiale et qu’en est-il maintenant ? Il est évident que la violence et l’injustice n’ont pas manqué depuis 1945 et persistent encore aujourd’hui.
L’ONU qui a remplacé la SDM risque tragiquement de la rejoindre le cimetière des éléphants. Les grandes puissances font revenir le monde à l’époque médiévale. D’autant que le droit de véto est un frein injuste qui bloque la volonté de la majorité des nations souveraines. Le respect du droit et l’application de la justice sont à rechercher, tels contenus dans les résolutions 181, 242, 338 des Nations unies.
Si ces résolutions étaient appliquées, une telle tragédie ne se serait jamais produite aujourd’hui. Nous demandons en ce sens l’arrêt immédiat des bombardements, le ravitaillement rapide de la population, la libération des prisonniers de part et d’autre, la reconstruction de Ghaza et l’application immédiate des résolutions 181, 242, 338. Cela donnera paix et sécurité dans cette région du monde martyrisée. L’humanité pourra enfin retrouver sa sérénité.
Hadj Ali Said –
Oumoussa Lakhdar