Raïssi appelle à une pression coordonnée pour mettre fin aux «crimes» sionistes

Le président iranien Ebrahim Raïssi a appelé à une plus grande coordination entre les Etats «indépendants et libres» pour mettre fin aux «crimes» sionistes en Palestine.
Dans une lettre envoyée aux dirigeants de 50 pays, dont ceux de la Chine, de la Russie, de la Turquie, du Kazakhstan, de l’Afrique du Sud, du Kenya et de la Jordanie, M. Raïssi a demandé de soumettre l’entité sioniste à des «pressions politiques et économiques coordonnées» à cette fin, selon un communiqué publié lundi sur le site Internet de son bureau.
Le président iranien a condamné les «mesures brutales» prises par l’entité sioniste contre Ghaza, qui ont fait des milliers de martyrs et détruit les infrastructures de l’enclave côtière au cours des dernières semaines.
Il a également dénoncé «la politique délibérée de deux poids deux mesures adoptée par certains gouvernements occidentaux, qui ignorent les principes éthiques, humains et juridiques de la situation actuelle à Ghaza».
M. Raïssi a souligné que les Etats «indépendants et épris de liberté», en particulier les pays musulmans, devaient adopter une position cohérente et unie dans les domaines diplomatique et économique afin de faire pression sur l’entité sioniste pour qu’elle cesse de tuer des civils et qu’elle lève le siège de Ghaza.
En outre, il a exhorté ces pays à rompre leurs liens politiques, commerciaux et de coopération avec l’entité sioniste.

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