L’Argentine ne rejoindra pas le groupe des BRICS

Annoncée par la future ministre des Affaires étrangères

Comme c’était attendue et totalement devinable, l’Argentine et sous le nouvel ère du président argentin, Javier Milei, ne rejoindra pas le nouveau Groupe multipolaire, le BRICS, une annonce officielle faite, avant-hier, par la future dame à la tête des Affaires étrangères, Diana Mondino, dans un message écrit sur le réseau social X (ex-Twitter). En effet, le gouvernement du nouveau président argentin Javier Milei n’a pas l’intention d’entrer dans la composition des BRICS, a déclaré, avant-hier jeudi, sa conseillère en politique étrangère et future ministre des Affaires étrangères, Diana Mondino. « L’Argentine ne rejoindra pas les Brics », a-t-elle écrit, jeudi dernier, sur le réseau social X (ex-Twitter). Le second tour de la présidentielle qui s’est tenu le 19 novembre passé en Argentine a été remporté par le député libertaire Javier Milei, de la coalition de droite « La Liberté avance.» Avant cette annonce de la future ministre des Affaires étrangères, le nouveau président avait déjà déclaré, voire à plusieurs reprises, qu’il n’avait pas l’intention de développer les relations avec le Brésil, la Chine et la Russie en raison de désaccords avec leur politique, mais a promis en même temps de ne pas entraver les affaires des entreprises privées avec ces pays. Diana Mondino a pour sa part fait savoir fin octobre dernier que la coalition de droite « La Liberté avance » n’estimait pas actuellement opportune la participation de l’Argentine aux activités des BRICS, où le pays a été admis lors du Sommet de l’organisation en août dernier. Dans le même temps, elle n’a pas exclu une éventuelle modification de cette position.