Ces sionistes qui brisent aussi le rêve de la jeunesse palestinienne

Football

,Les enfants meurent toutes les minutes à Ghaza en Palestine. Les sionistes, ces terroristes croient écraser tout sur leur chemin, alors qu’ils assistent quotidiennement à une résistance qui fait réagir les familles des sionistes et veulent que cela se termine… demain.

« Je n’irai plus jamais jouer au foot comme les autres »
Un jeune de 17 ans au micro de la Chaine Al DJazair, évoque son rêve, les rêves de ses amis qui disparaissent au quotidien un par un. ‘J’ai peur de ne pas grandir pour jouer au football, taper sur le cuir, courir, me défouler sur les terrains de football, c’était mon rêve, aujourd’hui, ils m’ont ampute mes deux jambes.  »Un rêve qui s’évapore pour ce jeune garçon ».  »Je ne sais pas, mais je prie Dieu le Tout-Puissant de me protéger et de protéger ma famille pour qu’ils puissent m’accompagner au stade ».

«Regardez ce stade, il ne reste plus rien !»
Des larmes s’échappent de ses beaux yeux aux couleurs du ciel bleu.  »regardez ce stade, il ne reste plus rien, les Sionistes, ont tué le sport, d’habitude, Mohammad, a huit ans, allait à l’école à Beit Lahya, et à la sortie faisait un crochet au petit stade ou il profitait de taper quelques instant sur la petite balle dans le nord de l’enclave palestinienne, entouré de ses cousins et de ses voisins. Comme un million d’écoliers palestiniens à travers Gaza et en Cisjordanie occupée, n’iront nulle part, tout est broyé, il ne reste que des amas de ferrailles. « j’ai pu retrouver accidentellement mon cartables et les tableaux noirs., Un cahier, un stylo et les place entre ses mains», racontait-il aux envoyés spéciaux. Comme ses pas, le tracé du petit garçon est désormais hésitant et elle doit l’aider à diriger sa main pour écrire un mot. « Irai-je un jour jouer au ballon ? »

Rattachez-moi mes jambes…
Un autre média décrit ceci : « Rattachez-moi mes jambes», crie Layan Al- baz, 13 ans, à chaque fois que la douleur le réveille au milieu de la nuit, sur son lit d’hôpital… saisi par l’effroi après avoir été amputée. Layan n’ira pas faire de l’athlétisme comme elle le rêvait. L’enfant rencontré par une équipe de l’AFP à l’hôpital Nasser de Khan Younes, dans le Sud de la bande de Ghaza, refuse de s’imaginer avec des prothèses. « Je ne veux pas de prothèses. Je veux qu’ils me rattachent mes jambes, ils peuvent le faire… Comment vais-je reprendre mes entrainements, mes amies marchent, iront à l’école mais pas moi ».

Ne pouvoir plus marcher ni jouer au football
Un autre de 14 ans lui aussi amputé d’une jambe, portant un maillot vert de football et un short assorti, Ahmed Abou Shah- Mah, entouré de ses cousins, marche en s’appuyant sur ses béquilles «quand je me suis réveillé, j’ai demandé à mon frère ou est ma jambe, il m’a menti en disant qu’elle était bien là et que je ne la ressentait pas à cause de l’anesthésie, avant que mon cousin me dise la vérité le lendemain. J’ai beaucoup pleuré, la première des choses à laquelle j’ai pensé, est de ne pouvoir plus marcher ni jouer au football comme je le faisais tous les jours. Je m’étais même inscrit dans une académie, il est un supporter du géant FC Barcelone. Une jeunesse qui aspirait à faire partie du monde sportif, voit, par la faute des criminels, leur rêve aussi brisé».
Résumé de H. Hichem