Le principe de la souveraineté nationale est une ‘’ligne rouge’’ à ne pas franchir

LEGS INESTIMABLE Revue El Djeïch

«Le principe de la souveraineté nationale pour notre pays a été et restera toujours l’une des composantes fondamentales de l’Etat et une ligne rouge qu’il ne serait permis à quiconque de franchir, quelles que soient les circonstances ou la cause», a affirmé la revue El Djeïch dans son dernier numéro, soulignant que l’Armée nationale populaire (ANP) est prête à contrecarrer toute tentative visant à attenter à la sécurité, la souveraineté et l’intégrité territoriale du pays.
El Djeïch, a ajouté que l’Algérie qui a sacrifié des millions de martyrs pour recouvrer sa souveraineté, veille aujourd’hui à la préserver et à la défendre de toutes ses forces. Dans son éditorial intitulé: « Notre souveraineté, un legs inestimable », la revue observe que «les évènements notables, dont notre glorieuse Histoire s’enorgueillit, sont nombreux, et ce mois de février est particulièrement riche en faits marquants qui ont été décisifs dans le parcours de l’Algérie, qui traduisent l’attachement de ses hommes loyaux à notre souveraineté, et qui imposent que nous marquions une halte évocatrice».
Parmi ces évènements, la revue cite «la commémoration de la Journée nationale du Chahid, coïncidant avec le 18 février», relevant qu’il s’agit d’une occasion qui «nous exhorte à la nécessité de sauvegarder les précieux acquis dans le processus d’édification de l’Etat algérien sur des bases solides. Une Algérie soucieuse de renforcer sa souveraineté et son indépendance et de préserver l’intérêt suprême de la Patrie en toutes circonstances».
«Et comme l’a affirmé l’année dernière Monsieur le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, nous célébrons la Journée du Chahid ‘’afin que l’appartenance nationale demeure ancrée et que la fidélité aux Chouhada demeure une union nationale sacrée qui immunise la cohésion de notre tissu social contre ceux qui surfent sur la vague attentatoire à notre pays et persistent dans leurs dérives et leurs dérapages visant à saper le processus que nous avons amorcé, en faveur d’un développement national durable, dans une Algérie nouvelle prometteuse’’», a rappelé la publication.
«Partant du principe de la préservation du serment de nos valeureux Chouhada, et lorsque notre vaillant peuple s’est résolu à changer le cours de l’Histoire, ce qu’il fit, il a pris son destin en main et a entrepris de développer le pays à tous les niveaux afin de construire une Algérie forte», relève l’édito, soutenant qu’«il était donc logique que notre pays recouvre sa souveraineté sur ses espaces terrestre, maritime, aérien ainsi que sur ses ressources nationales dans leur intégralité».
Dans le même sens, la revue rappelle que «quelques années après avoir arraché son indépendance, et par une décision souveraine, notre pays a récupéré, à travers une démarche historique, la base navale de Mers El-Kébir, le 2 février 1968, qui fut un grand acquis national, en vertu de son importance stratégique».
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